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01/03/2011

Bro Gembre/Pays de Galles : ur skinwell e kembraeg penn da benn

Ur reportaj a zivout S4C a zo bet skignet war Arte : ar chadenn skinwell se a zo e kembraeg penn da benn...
Un reportage sur la chaîne S4C, diffusé sur Arte, et consacré à la chaîne S4C qui émet 100 % en gallois...

http://replay.fr/teles-monde-streaming-176212

Onisep : L'occitan aujourd'hui, des études, des métiers

An Onisep 'deus embannet ur gelaouenn a ziar benn an okitaneg, penaos deskiñ ar yezh-se, ha penaos kavout labour getan... Traoù sort-se a vank evit ar brezhoneg.
L'Onisep vient d'éditer une revue sur l'occitan, comment l'apprendre et comment trouver du travail grâce à cette langue... Un tel document manque pour le breton.

http://languebretonne.canalblog.com/archives/2011/02/28/2...

28/02/2011

"Patois", eme al levr istor/"Patois", dit le livre d'histoire...

Setu ar pezh m'eus lennet ba levr istor ur verch yaouank a zo er c'hentañ klas L (meret get an aotroù Lambin, eEmbannadurioù Hachette).
Extrait d'un manuel d'histoire de première L (littéraire). Editions Hachette, livre dirigé par M. Lambin.

"L'obligation scolaire (lois Ferry en 1881-82) permet à tous les jeunes d'acquérir, dans la langue nationale, une culture commune. Le service militaire, imposé à tous en 1905, développe la solidarité au sein d'une classe d'âge. Les signes d'appartenances régionales (patois, costumes), s'effacent dans les grandes villes"...

Setu ar pezh a vez desket get ar re yaouank c'hoazh, e 2011, barzh ul lise e lec'h ma n'eus kentel brezhoneg ebet, evel rezon. Perak deskiñ un trefoedaj, ur "patois" ?
Voici ce que les jeunes apprennent, encore, en 2011, dans un lycée où il n'y a, bien évidemment, aucun cours de breton. Pourquoi, en effet, apprendre un "patois" ?

25/02/2011

Ai'ta. Arouez "Bretagne" : hag ar brezhoneg ?

Kemenadenn a-bezh strollad Ai'ta.

"D’ar 27 a viz Genver diwezhañ e oa bet lañset war an ton bras arouez nevez « Bretagne » gant Jean-Yves Le Drian. Ne vern ar pezh a c’haller soñjal diwar-benn talvoudegezh ur merk evit Breizh, diwar-benn braventez al logo-se peotramant an arc’hant bras ’zo bet postet ennañ… Un dra a zo sur ha ne c’hallomp ket degemer anezhañ : an arouez-se koulz hag al lec’hienn internet savet d’e vrudañ a zo divrezhonek penn-da-benn ! Deomp-ni eo splann an traoù : evel ma gane Alan Stivell, « Hep brezhoneg, arabat komz diwar-benn Breizh!.
Setu petra ’zo kaoz e kinnigomp d’an holl dud, kevredigezhioù, strolladoù skrivañ evel en deus graet Ai’ta ! evit sevel groñs a-enep an doareoù-mañ… Hiziv an deiz, pa vez anv deus Breizh, pa vez dispignet arc’hant foran e Breizh, e rank hor yezh kaout he flas !

Bezomp kantadoù o skrivañ da Jean-Yves Le Drian ’ta : presidence@region-bretagne.fr
pe c’hoazh
Ao. Jean-Yves Le Drian Kuzul Rannvro Breizh 283, bali Jeneral Patton 35 711 ROAZHON"

Kemper/Quimper : ur gont etre/Un bilan mitigé

Ar re a labour evit ar brezhoneg e Kemper n'int ket kountant penn da benn ag ar pezh e vez graet get ar gumun evit ar brezhoneg...
Les associations qui travaillent pour la langue bretonne à Quimper ne sont pas très satisfaites du bilan municipal en matière de langue bretonne...

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Breton-bilan-...

http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimp...

23/02/2011

War roudoù an arameaneg/Sur les traces de l'araméen

An arameaneg a oa danvez un abadenn skignet war Frans Sevenadur disul paseet. Ar yezh se a oa, hervez an istorourion, yezh vamm Jezus daou vil vloaz 'zo (arameaneg kozh neuze). Komzet 'vez arameaneg hiriv an deiz get tud 'zo e Bro Siri, lakaomp, en ur gumun anvet Maaloula. Get kristenion, met ivez get muzulmaned. Ur c'hlasker gall a zo aet du-hont da glask roudoù ar yezh, penaos e vez komzet, get piv, perak, hag evit gober petra... An arameaneg a vez gwelet get tud 'zo evel un trefoedaj ha n'hell ket bout implijet evit pediñ... Yezh ar C'Hrist eo, ha n'hell ket servij evit pediñ, drol eo... Interesus eo an abadenn met me chal ma z'eus ur bochad klaskourion gall a ya da welet mod-se stad yezhoù kozh komzet e Bro C'Hall...

L'araméen était la matière d'une émission diffusée sur France culture dimanche dernier. Cette langue, ou son ancêtre direct, était la langue maternelle du Christ, selon les historiens, il y a 2.000 ans. On parle toujours araméen aujourd'hui, notamment en Syrie, dans une commune appelée Maaloula. Des chrétiens la parlent, mais aussi des musulmans. Un chercheur français est allé sur place pour se rendre compte de l'état de la langue, comment elle est utilisée, par qui, pourquoi. L'araméen y est défini comme un "patois"  qui ne peut, par exemple, pas être utilisé pour la prière, ce qui est un peu surprenant pour la langue maternelle du Christ... Emission intéressante. Je me demande, cependant, s'il y a beaucoup de chercheurs français qui vont sur les traces des langues anciennes encore parlées dans l'Hexagone...

http://www.franceculture.com/emission-foi-et-tradition-fo...

21/02/2011

21 a viz C'Hwevrer/21 février : devezh etrebroadel ar yezh vamm

Hiriv, an 21 a viz C'Hwevrer e vez lidet ar "yezhoù" get an Unesco. Ur c'hollok a zo bet tolpet e Pariz...
Le 21 février est la journée internationale de la langue maternelle, selon l'Unesco. Un colloque a été réuni à Paris...

http://www.unesco.org/fr/languages-and-multilingualism/21...

20/02/2011

Bro Okitania : evel ki ha kazh

En Okitania skolioù dre "soubidigezh" a zo bet savet (evel Diwan e Breizh), e lec'h ma vez desket okitaneg get ar vugale. Calandretas a vez graet anezhe. Ur gevredigezh talvoudus all a zo, ha kozhoc'h : an Institut d'études occitanes. Peseurt darempredoù a vez etreze ? Hag e labouront asambles ? Pas kement-se. Evel ki ha kazh emaint kentoc'h, hervez ar pezh a zispleg Jean-Paul Cavaillé war e vlog Taban. Dishenvel awalc'h eo an traoù e Breizh, met lenn ar pennad-se a ro danvez da sonjal, memestra.

En Occitanie des écoles par "immersion" ont été créées, comme Diwan en Bretagne, où les enfants apprennent l'occitan. Ce sont les Calandretes. Une autre association importante, et plus ancienne, l'Institut d'études occitanes. Travaillent-elles ensemble ? Pas tellement. Elles se regarderaient même plutôt en chiens de faïence ("evel ki ha kazh" comme chien et chat), d'après ce qu'indique Jean-Paul Cavaillé sur son blog, Taban. Si la situation est différente en Bretagne, la lecture de cet article peut nourrir réflexion, cependant...

http://taban.canalblog.com/

18/02/2011

Les sénateurs votent pour les panneaux bilingues en entrée de communes

Ur c'hinnig lezenn a zo bet votet get ar senadourion, dimerc'her, evit ma vo lakaet barzh al lezenn ar gwir da lakaat pannelloù divyezhek er c'humunioù; ar pannelloù-se a oa bet lakaet en arvar get ur lezvarn e Montpellier e miz Here paseet. Al lezenn-se a zo da vout kadarnaet bremañ get ar gannaded.
Les sénateurs viennent de voter, mercredi, une proposition de loi pour que les panneaux bilingues français-langues régionales, à l'entrée des communes; l'existence de ces panneaux, en effet, avait été mises à mal par un jugement, à Montpellier, en octobre.

Rentañ kont an tabutoù/Compte rendu des débats :

http://www.senat.fr/seances/s201102/s20110216/s20110216_m...

Frédéric Mitterrand : "Loin de constituer un quelconque repli identitaire, la signalisation bilingue est, au contraire, un dévoilement identitaire. Elle nous donne à voir notre pays pour ce qu’il est aussi : le foyer de langues diverses. La manifestation publique des langues de France révèle un des visages de la France. C’est un miroir qui nous renvoie l’image plus fidèle de la nation, politiquement une et culturellement plurielle. (...)."

Affaire Clearstream : Denis Robert blanchi

Communiqué du Syndicat national des journalistes :

"La profession dit bravo à Denis Robert et merci ! Les journalistes doivent remercier Denis Robert"
"Après avoir mené pendant dix ans un combat juridique aussi âpre que financièrement ruineux et psychologiquement éprouvant contre la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream, notre confrère vient de remporter une victoire éclatante. Les magistrats de la Cour de cassation, dans trois arrêts, ont consacré la liberté d’expression et d’enquête de tout journaliste sérieux.
Le Syndicat National des Journaliste (SNJ), première organisation de la profession, a plaisir à rendre grâce également à ces magistrats qui viennent de confirmer, dans le droit fil de l’article 10 de la Convention européenne des Droits de l’homme et des décisions de la Cour européennes des Droits de l’homme, le principe de tout citoyen à être complètement informé par des journalistes qui travaillent sérieusement.
Ces décisions revêtent une signification hautement symbolique puisqu’elles permettent à Denis Robert de s’inscrire dans la tradition des Albert Londres qui entendent "porter le fer dans la plaie" quoi qu’il puisse leur en coûter.
Quelle claque à celles et ceux qui se sont permis d’ironiser sans savoir et de condamner son travail sans le moindre début de preuve fondant leurs motifs ! Quel bel exemple pour les jeunes journalistes qui n’ont pas toujours la chance de croiser la route de "journalistes dignes de ce nom".
Le SNJ, aux côtés de Denis Robert depuis le début, se réjouit donc avec lui et se permet de dire à la profession : remerciez-le !"

SNJ / le 10 février 2011

http://www.snj.fr/spip.php?article1023

Sinema/Cinéma : Au bistro du coin doublé en langues régionales

D'ar 16 a viz Meurzh e teuyo er maez ar film "Au bistro du coin", savet get Charlez Menes, ha troet e meur a yezhoù rannvroel : brezhoneg, okitaneg, korseg, elzasianeg, Ch'ti... Un abadenn e brezhoneg, istitlet e galleg, digoust, a vo kinniget a-benn dilun e Roazhon (10e), sine Gaumont. Ar perak hag ar penaos a zo displeget get ar savour film (tennet ag an teuliad brudiñ).
Le film Au bistrot du coin, de Charles Menes, sort le 16 mars prochain, en français, mais aussi dans plusieurs langues régionales (sous titré en français), notamment le breton. Une séance gratuite est proposée lundi 21 février, à 10 h, au cinéma Gaumont de Rennes. Le pourquoi et le comment expliqué par le réalisateur (extrait du dossier de presse) :

"Le film va être exploité en plusieurs langues régionales. Un pari plutôt fou, non ?
Au départ, on voulait que le bar soit à l'image de ce qu'il pourrait être si Fred Testot, qui joue Manu, en était vraiment le patron. Du coup, on s'est amusé à "customiser" le bar moitié Tourangeau, moitié Corse. Très vite, on s'est dit que ce serait drôle de doubler le film en corse et, de fil en aiguille, on s'est dit "Et pourquoi pas en breton ? Et en alsacien ? Et en chti ? Et en occitan ? Etc." Et au final, ces quelques idées qui nous paraissaient folles ont fédéré des envies chez nos interlocuteurs et on s'est jeté à l'eau. Résultat : le film va être distribué simultanément en six langues régionales et en français, ce qui a nécessité qu'on décale la sortie pour finaliser l'ensemble de ces versions.
Comment avez-vous mis en place ce dispositif hors normes ?
Ce n'était pas réalisable au départ. Il a fallu qu'on crée cinq filières de postproduction en région, qu'on forme des gens et qu'on équipe des studios pour des besoins très spécifiques. Pour l'anecdote, on a dû refaire le générique puisqu'on y ajouté 300 noms ! Je pense que c'est une expérience unique, même si j'espère qu'elle suscitera des vocations.
Vous n'avez demandé à aucun des acteurs de se doubler lui-même ?
Non, parce qu'on tenait à ce que la prononciation et l'accent, dans chacune des langues, soient les plus authentiques possible. Ou alors, s'il y avait une accentuation spécifique, il fallait qu'elle soit délibérée."

Un tañva ag ar film/La bande annonce :

http://www.europacorp.com/#/site/?&lg=fr&part=con...

Evit lakaat e anv evit dilun/Pour s'inscrire à la séance de lundi :

cjulienne@ydeo.fr

Tél. 01 53 83 03 86.

 

Gwengamp : deskiñ brezhoneg ha monet da Vro Gembre...

Nebeutoc'h nebeut a "opsionoù" a vez e Breizh, da lâret eo skolajoù e lec'h ma c'hell ar vugale krogiñ get ar brezhoneg. Ur bochad a zo bet serret get ar veleztradurezh, ne vez ket graet bruderezh evite, ha daw eo d'ar gelennerion bout sonjoù dreistordinal evit gober brud ha desachiñ tud yaouank evit ma vo trawalc'h a dud, evel ar pezh a zo displeget amañ...
Les options langue bretonne au collège sont de moins en moins nombreuses, c'est-à-dire des collègues où les jeunes peuvent commencer le breton en sixième. Beaucoup ont été fermées par l'administration, aucune pub ne leur est faite et il faut aux enseignants avoir des idées originales pour attirer les jeunes et avoir sufffisament de monde, ce que montre cet article de Ouest-France :

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Guingamp-22-.-Pour-...