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19/02/2012

Istor ar brezhoneg/L'histoire de la langue bretonne

Ur bajenn a-bezh a ziar istor ar brezhoneg a zo b'an Telegramme hiriv :
Une pleine page consacrée à l'histoire de la langue bretonne dans le Télégramme aujourd'hui :
http://www.letelegramme.com/ig/loisirs/la-langue-bretonne...
http://www.letelegramme.com/ig/loisirs/le-roi-waroc-et-la...

29/07/2011

Istor Vreizh/Histoire de Bretagne : sonjoù Joël Cornette

Ur gentelig istor Vreizh a feson/Une petite leçon d'histoire de Bretagne :

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne...

20/04/2011

Teulfilm : Berlin, Vichy, Bretagne war internet

An teulfilm Berlin, Vichy, Bretagne, a c'hell bout gwelet war lec'hienn internet Frans 3 an deizioù mañ ha n'ouion ket betek pegoulz. Le documentaire Berlin, Vichy, Bretagne, peut être regardé ces jours-ci sur le site de France 3 mais je ne sais pas jusqu'à quand.

http://bretagne.france3.fr/documentaires/index.php?page=a...

Mod all, Fañch Broudic a zispleg e sonj a ziar an abadenn-se war e vlog. Le commentaire de Fañch Broudic sur son blog :

http://languebretonne.canalblog.com/archives/2011/04/14/2...

18/04/2011

A-venn e ta ar yezhoù/D'où viennent les langues ? Afrika ?

Hervez an "New York Times", razh ar yezhoù komzet hiriv an deiz er bed (war dro 6.000) o dehe ur vammenn hepken, en Afrika, 50.000/70.000 bloaz 'zo.../Selon le New York times une seule langue serait à l'origine des 6.000 (environ) langues parlées dans le monde aujourd'hui. La source serait en Afrique, il y a 50.000/70.000 ans (lu sur Slate.fr).

"Les 6.000 langues du monde moderne descendraient, selon les travaux de Quentin Atkinson (publiés dans Science), d'une unique langue ancestrale parlée par les premiers hommes d'Afrique, il y a 50.000 à 70.000 ans, souligne The Wall Street Journal. Cette découverte est surprenante, signale The New York Times. En effet, comme les mots changent très rapidement, les linguistes expliquent généralement que l'on ne peut remonter trop loin dans le temps. Jusqu'à présent, la généalogie d'une langue la plus poussée concerne la famille indo-européenne (...) et remonte à 9.000 ans.

Atkinson, psychologue évolutionnariste néozélandais, a repoussé cette barrière en étudiant non pas les mots mais les phonèmes (c'est-à-dire les consonnes, les voyelles et les tons qui sont les éléments les plus simples de la langue et qui permettent de distinguer deux mots)." Selon ce chercheur ce sont les langues khoïsan, parlées en Afrique australe (Botswana, Namibie, province du Cap-du-Nord d'Afrique du Sud, Angola méridional) dont seraient "originaires toutes les autres".

11/04/2011

Istor Breizh/Histoire de Bretagne : danvez da lenn ha da welet

Danvez da lenn ha da welet a ziar istor Breizh a zo roet deomp a deizhioù-mañ. Kumun Pleskob a faota dezhi reiñ anv Polig Montjarret d'ar skolaj publik nevez a vo savet ar bloaz mañ. An anv-se a vo kinniget geti d'ar c'huzul meur, ha getan e vo dibabet da vat. Tud 'zo n'int ket a-du. Ur brezegenn get istorourion evel Kristian Hamon, Jean-Jacques Monier hag Erwan Chartier a zo bet tolpet e Pleskob digwener paseet. Ar pezh a zo bet lâret get Kristian Hamon a zo embannet war blog Jean-Laurent Bras, kazetenner ba' Ouest-France. Al liamm, e-dan.

Matière à lire et à écrire à propos de l'histoire de la Bretagne nous est donnée ces jours-ci. La commune de Plescop veut donner le nom de Polig Montjarret au nouveau collège publique qui va être construit cette année. Elle le proposera au Conseil général du Morbihan qui décidera en dernier recours. Certaines personnes ne sont pas d'accord. Une conférence publique avec des historiens comme Kristian Hamon, Jean-Jacques Monnier et Erwan Chartier a été organisée vendredi dernier. L'intervention d'un de ces spécialistes, Kristian Hamon, est publiée sur le blog de Jean-Laurent Bras, journaliste à Ouest-France.

http://breizh.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/04/10/po...

 Mod all, d'an nozh mañ,  0e40 e vo skignet war France 3 un abadenn war ar memes prantad istorel (1940/45)/Sinon cette nuit, à 0h41, une émission sur la même période historique sera diffusée sur F3 : "Berlin Bretagne Vichy". 54 mn.

"Dès son accession au pouvoir en 1933, Hitler va encourager toutes les tentatives de déstabilisation à l'encontre de la France. La question des minorités régionales (Alsaciennes, Basques, Bretonnes) retient particulièrement l'attention des services secrets allemands. Des agents du Reich entrent en relation avec les principaux chefs du P.N.B. (Parti National Breton) Olivier Mordrel et François Debeauvais. Les idées s'échangent, les liens se tissent, des armes seront livrées... Le gouvernement Daladier va mettre un terme brutal à ces tentatives de déstabilisation".

 

29/03/2011

Kant vloaz 'zo, un eured e Bro Gwened...

Setu da heul ul liamm evit mont da welet ur film savet e 1908 e Bro Gwened (Landivan ?), ha skignet get an Ina. Didrouz, mut eo, evel rezon, ha brav bras.
A suivre un lien avec un film réalisé en1908 en pays vannetais, probablement à Landévant, et diffusé par l'Ina. C'est muet, mais bien intéressant...

http://www.youtube.com/watch?v=bpxH-rOoLVQ

16/03/2011

Paol Keineg : un atersadenn interesus/un entretien intéressant

Ar barzh ha skrivagner Paol Keineg a zispleg e bezh c'hoari nevez hag e sonjoù a ziar benn traoù 'zo barzh un atersadenn embannet war internet.
Le poète et écrivain Paol Keineg explique sa nouvelle pièce et ses idées sur quelques sujets dans un entretien paru sur internet.

"L’Histoire est toujours une arme politique. Les rois de France s’attachaient des historiographes qui, avec les juristes, jouaient un rôle important dans l’expansion du territoire et la définition du concept de frontière. Cette force comptait autant que celle de leurs armées. Je ne sais pas si les historiens seraient d’accord, mais je pense qu’il y a une part de fiction dans l’Histoire."

http://www.lagriffe.org/2011/03/2998/

 

28/02/2011

"Patois", eme al levr istor/"Patois", dit le livre d'histoire...

Setu ar pezh m'eus lennet ba levr istor ur verch yaouank a zo er c'hentañ klas L (meret get an aotroù Lambin, eEmbannadurioù Hachette).
Extrait d'un manuel d'histoire de première L (littéraire). Editions Hachette, livre dirigé par M. Lambin.

"L'obligation scolaire (lois Ferry en 1881-82) permet à tous les jeunes d'acquérir, dans la langue nationale, une culture commune. Le service militaire, imposé à tous en 1905, développe la solidarité au sein d'une classe d'âge. Les signes d'appartenances régionales (patois, costumes), s'effacent dans les grandes villes"...

Setu ar pezh a vez desket get ar re yaouank c'hoazh, e 2011, barzh ul lise e lec'h ma n'eus kentel brezhoneg ebet, evel rezon. Perak deskiñ un trefoedaj, ur "patois" ?
Voici ce que les jeunes apprennent, encore, en 2011, dans un lycée où il n'y a, bien évidemment, aucun cours de breton. Pourquoi, en effet, apprendre un "patois" ?

07/02/2011

Glottopol : "Pourquoi les bretonnants ont-ils arrêté de parler leur langue maternelle à leurs enfants... ?"

Perak o doa ar vrezhonegerion chomet a sav da gomz o yezh vamm get o fugale ar lerc'h an eil brezel bed ? Setu titl ur pennad skrivet e galleg b'ar gelaouenn Glottopol, embannet war internet get skol veur Rouen ha kinniget war e vlog get Fañch Broudic. 
Pourquoi les bretonnants ont-ils arrêté de parler leur langue maternelle à leurs enfants après la seconde guerre mondiale ? C'est le titre d'un article paru dans la revue Glottopol, éditée sur internet par l'Université de Rouen, et signalé par Fañch Broudic sur son blog.

http://www.univ-rouen.fr/dyalang/glottopol/numero_16.html

http://languebretonne.canalblog.com/

13/01/2011

Histoire : justice en français, "les bretonnants étaient à la peine"

Penaos roiñ ar justis e galleg barzh ur vro e lec'h ma veze komzet brezhoneg get 90% ag an dud, ha pas ar yezh ofisiel, evel e Breizh Izel betek fin an naontekved kantved ? Ur studiadenn a zo bet embannet a ziar benn an dra-se get Annick Le Douget. Setu ul liamm get un atersadenn embannet b'an Telegramme.

Comment donner la justice en français dans une région où la population parlait le breton à 90%, et pas la langue officielle, comme c'était le cas en Basse-Bretagne jusqu'à la fin du XIXe siècle ? Une étude a été réalisée sur ce sujet par Annick Le Douget. Voici un lien avec une interview de l'auteure, parue dans Le Télégramme.

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/...

06/01/2011

Sur les traces de l'histoire de Bretagne... et de France

Hl'union088.jpg

C'est ma première promenade de 2011 que je vais vous conter maintenant. Dimanche 2 janvier, j'étais chez des amis, à Liffré. L'amie chez qui je loge me propose d'aller nous promener de bon matin (10h30) non loin de là à Saint-Aubin du Cormier, lieu de la célèbre bataille entre l'armée du duc de Bretagne et celle du roi de France, le 28 juillet 1488. Pas une échauffourée, non : entre 6.500 et 9.500 soldats sont morts sur ce site, selon les sources (1), et la plupart (5.000.6.000 ?), de l'armée bretonne qui s'est pris, ce jour-là, une grosse raclée. Comme nous avions passé les jours précédents à bien manger et à boire un peu plus que d'habitude, Réveillon oblige, nous avions bien besoin d'aller marcher, et la proposition a été retenue.

Nous voilà à trois, mon amie, son compagnon, et moi, sur les traces de l'histoire de Bretagne et de France. Direction Saint-Aubin du Cormier, que nous laissons de côté... Pour échouer entre un camp militaire et des haras ! Pas la moindre traces du site historique. Pourtant, les panneaux ne manquent pas, de toutes sortes, indicateurs, publicitaires, etc, mais non, rien.

Mon amie appelle une de ses amies pour avoir plus de précisions et nous comprenons que nous avons tourné à gauche trop tôt, 100 mètres avant le site. Mais là, bis repetita. Nous apercevons bien, de la route, un monument, mais pas plus de panneaux ni d'indication d'un parking... Décidément, il y a des batailles moins importantes qui sont mieux commémorées. Sur le site lui même, un monument de pierres, avec un croix, et des plaques à la mémoire des soldats morts à cet endroit. Mais pas d'explications historiques, pas de panneau, de musée... Le monument a été construit à l'initiative de l'association Koun Breizh, Le souvenir breton, en 1488 (2). Vingt mètres plus bas, un panneau d'information sur le GR qui passe par là signale qu'un deuxième monument existe, un peu plus loin, dans un lieu privé mais accessible. Nous le cherchons, mais vainement. Certains chemins sont bloqués, fermés à la circulation piétonne, et dans des réserves de chasse. D'ailleurs nous entendons des tirs. Nous ne trouvons pas ce deuxième monument.

C'est étonnant quand même. Nous voilà face à une grande victoire de l'armée française. Une étape cruciale dans la construction de la royauté (et de l'Etat français), qui aboutit au « rattachement » de la Bretagne à la France, et la France ne commémore rien, ici. Gergovie, Poitiers, Bouvines, Marignan, Austerlitz, la bataille de la Marne... Elle est longue la liste des batailles (et pas que des victoires d'ailleurs) qui font partie de la conscience collective; qui ont fait l'objet de moultes émissions, publications, recherches, cours... Et Saint-Aubin du Cormier ?

Il est vrai que le roman national français raconte une autre histoire, celle d'un mariage. La duchesse de Bretagne s'est mariée au roi de France, et c'est ainsi que le « rattachement » a eu lieu. Pourquoi donc commémorer une bataille et nuire à cette belle romance ? Rappeler qu'ici au moins 25.000 soldats étaient engagés : 25.000 ! Ce n'était pas une embuscade mais une vraie bataille entre Etats, même si l'un était un duché, et l'autre un royaume.

Hanne089.jpgEt combien de personnes sont mortes pour ce « rattachement » idyllique. 6.500 à Saint-Aubin du Cormier, et combien ailleurs : la guerre a duré de 1487 à 1491 ? Je n'ai jamais vu d'estimations là dessus. Etonnant non ? Car même après cette défaite, et la mort de son père François II (septembre 1488), Anne de Bretagne ne s'est pas résignée. Elle a épousé, par procuration, le duc d'Autriche et chercher des alliés pour continuer la guerre. Ce n'est que définitivement vaincue, qu'elle a capitulé et accepté les épousailles avec Charles VIII. Beau roman, belle passion amoureuse !

L'Etat français, le royaume puis la République, s'est, ainsi, largement construit par la guerre, par des conquêtes militaires : le comté de Toulouse, la Corse, la Franche Comté, la Bretagne... Puis ensuite la colonisation. Mais ce passé là, en 2011, 523 ans plus tard, la République française ne peut toujours pas l'assumer ? Le regarder en face ? Et la région Bretagne non plus ? Pour la guerre et les crimes commis alors, il y a prescription. Mais le refus de voir le passé en face, lui, a des conséquences pour le présent, notamment dans la négation et l'oubli de pans entiers de notre histoire qui nous constituent pourtant; dans la négation de cultures et langues différentes; dans le maintien d'un modèle qui confond égalité et uniformité; dans un centralisme qui étouffe les régions et leur créativité à dessein.

« L'enfer est privation d'histoire » écrivait Morvan Lebesque. Mais la privation d'histoire est aussi privation d'avenir.

Christian Le Meut

(1) Selon Georges Minois 26.000 soldats prirent part à la bataille et entre 5.000 et 6.000 furent tués dans les rangs de l'armée bretonne et quelques centaines dans l'armée du roi de France. Dominique Le Page et Michel Nassiet donnent les mêmes chiffres dans « L'Union de la Bretagne à la France », Skol Vreizh, 2003 (et 1.500 morts dans l'armée française). Des données un peu différentes sont fournies par Wikipedia, qui indique plutôt 9.500 morts. http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Saint-Aubin-du-C...

Plusieurs associations travaillent pour que le site soit mieux mis en valeur :

http://kounbreizh.free.fr/

http://aubin35.free.fr/site3/istor.htm

War roudoù istor Breizh ha Bro Frañs...

Hl'union088.jpgMa bourmenadenn kentañ e 2011 : setu ar pezh eh on da gontan deoc'h hiriv. Koste Liverieg (Liffré) e oan, ba' ti mignoned. D'ar sul vintin 2 a viz Genver, ma mignonez 'doa kinniget deomp mont betek St Albin an Hiliber (Saint Aubin du Cormier), e lec'h ma oa bet an emgann etre arme roue Bro Frans ha kani duk Breizh, 28 a viz Gouere 1488. Etre 6.500 ha 9.500 den a oa marvet du-hont hervez an istorourion (1). Bretoned evit al lodenn vrasan (5.000/6.000), hag ivez tud a Europa a-bezh.

Kontant a oan, ha setu ni partiet : ma mignoned ha me. Goude bout debret hag evet pasapl awalc'h d'ar gwener, da noz Kalanna, ha d'ar sadorn ivez, d'ober hor boa a vont er maez hag a gerzhit... Ha setu ni partiet, war roudoù Istor Breizh... Met roud ebet, pannel ebet war an hent. Kroazhentoù hent a-bep sort, pannelloù a-bep sort, met roud ebet ag al lec'h emgann. Ha setu ni kollet etre marchosi bras d'un tu, hag ur c'hamp dalc'het get arme Bro C'hall d'un tu all... Ma mignonez 'doa pellgomzet d'ur vignonez dezhi evit gouiet e-men a oa al lec'h resis. Troet hor boa a gleiz kant metr araok...

Hag ur wezh erruet, pannelloù a oa, ya, met bihan c'hoazh. Hag e-men lakaat an oto ? Souezhus, al lec'h. Ur monumant a zo bet savet tost d'an hent, e 1988, hervez ar pezh a zo skrivet warnan, get ar gevredigezh Koun Breizh. Plakennoù a zo staget warnan e koun ar re marvet e-pad an emgann. Un nebeut bokedoù. Met, c'hoazh, pannel ebet, displegadenn ebet, mirdi ebet...

Hervez ur pannelig lakaet evit an dud a bourmen (ur GR a dremen dre mañ), un eil monumant a zo, un tamm pelloc'h, barzh ul lec'h privez. Heuliet hon eus ur vinojenn evit mont da welet met ar vinojenn a oa serret da vat. Tennoù a veze klevet : ul lec'h gouarnet evit ar jiboesourion a oa ha n'omp ket aet pelloc'h.

Ken nebeut a draoù evit un emgann ken pouezus evit istor Breizh hag istor Bro C'hall... Met un emgann kuzhet, abaoe pell. Ne vez ket desket istor Breizh get ar vugale a Vreizh. Ha, sanset, Breizh a zo bet staget da Vro C'hall dre un eured. Eured Anna Vreizh get Charlez VIII... Ma vehe bet trec'het arme Bro Frans get arme Breizh, hag e vehe Anna aet da eurediñ get Charlez ?

Daoust d'he arme bet trec'het, ha goude marv he zad (gwengolo 1488), Anna a oa deuet da vout dukez. Ha setu hi dimezeet get duk an Aotrich. Tri blead brezel a oa bet c'hoazh, betek 1491. Ur wezh trec'het da vat, Anna Vreizh n'hele ket mui gober netra all nemet dimeziiñ get Charlez.

Hanne089.jpgYa, emgann St Albin a zo un darvoud talvoudus evit istor Breizh, ha Frañs ivez. Un trec'h bras e oa bet evit roue Frañs, met chomet kuzhet, pas evel Gergovie, Poitiers, Bouvines, Marignan, Austerlitz, La Marne, ha c'hoazh... Diskouezh, dija, pegement a soudarded a oa e stourm an deiz-se (tro dro 25.000), a ziskouezh penaos a oa an emgann-se unan etre daou stad (daoust da unan bout un dukelezh, ha d'an egile bout ur rouantelezh).
Ha ped a dud a oa bet lazhet, d'an daou du, etre 1487 ha 1491, evit ma vehe « dimezeet », « ratachet » evel ma vez lâret, Breizh da Vro Frañs ? M'eus ket biskoazh lennet sifroù a ziar an dra-se.

Lakaat an dra-se b'ar programmoù ar skolioù a ziskouehe penaos a oa bet savet Stad Bro Frans : dre ar brezel hag ar feulster e keñver Breizh met evit e keñver kalz rannvroioù all (Okitania, Corsika, Franche Comté...). Pell omp ag ar « romant broadel » kelennet barzh skolioù Bro Frans. Met n'hellomp ket c'hoazh, e 2011, sellet doc'h hon istor evel m'emañ ?

Christian Le Meut

(1) Hervez Georges Minois 26.000 soudard o doa kemeret perzh, etre 5.000 ha 6.000 a oa bet lazhet ba arme Breizh, hag un nebeut ba' arme Bro Frans. Dominique Le Page ha Michel Nassiet a ro ar memes sifroù barzh « L'Union de la Bretagne à la France », Skol Vreizh, 2003, ha 1.500 den lazhet koste arme Bro Frans. Traoù un nebeut dishenvel ba'Wikipedia, kentoc'h 9.500 den marv : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Saint-Aubin-du-C...

Kevredigezhioù 'zo a labour evit ma vehe diskouezhet ha displeget gwelloc'h an traoù e Sant Albin : http://aubin35.free.fr/site3/istor.htm

http://kounbreizh.free.fr/