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09/08/2010

Tourisme : "Be Breizh" ?

Le Comité régional du tourisme (CRT), vient de lancer une nouvelle campagne de promotion de la Bretagne, avec le soutien de la région Bretagne, campagne présentée aujourd'hui dans Le Télégramme (page 8). "Be Breizh", est le nouveau slogan des pennoù bras ("grandes têtes" : responsables) du tourisme en Bretagne. Un slogan mi anglais (on suppose qu'il s'agit du verbe être anglais "to be"), mi breton avec "Breizh", qui signifie Bretagne... Mais qu'est-ce que cela signifie ? "Soyez Bretagne" ? "Sois Bretagne", ou "Etre Bretagne" ? Je connais "be careful" ("Diwall", "Fais attention"), mais "Be Breizh", ou "Be France", ou "Be Suisse", comment le traduire, le comprendre ? Et d'un point de vue lexical anglais, est-ce que cela signifie quelque chose ? Si des spécialistes peuvent nous éclairer...

"Repli identitaire" ?
Mme Maria Vadillo, présidente du comité régional du tourisme, explique ainsi ce choix dans Le Télégramme, répondant à la question d'un journaliste sur le fait que "Be" ne fait pas très "brezhoneg" : "Je suis d'origine espagnole. (...). La Bretagne est une terre d'accueil et d'ouverture. Pourquoi opter pour un slogan breton qui aurait immanquablement ramené à l'idée d'un repli identitaire"... Ah bon, utiliser le breton serait un signe de "repli identitaire". Il faut oser dire cela, en plein festival interceltique, et alors même que l'on est censé promouvoir la Bretagne, et donc la connaître.

Il est vrai que le Festival interceltique de Lorient (Fil) n'a jamais été à la pointe du soutien à la langue bretonne, loin s'en faut. Alors même que notre langue est en situation délicate, passant d'un million de locuteurs vers 1950 à environ 200.000 aujourd'hui, un festival de cette ampleur ne laisse qu'une place mineur à la dernière langue d'origine celtique parlée sur le continent. Allez comprendre.

Je signale à Mme Vadillo que bien des gens d'origine non bretonne ont appris et apprennent, le breton, et le pratiquent. Pourquoi ne pas vous y mettre ? Ce serait là un "signe d'ouverture".

Qui est "ouvert", qui est "fermé" ?
Parler et employer la langue bretonne n'est en rien un repli identitaire. C'est comme parler français, javanais ou tamalog, ou encore les milliers de langues humaines parlées dans ce monde. Au contraire, mettre de côté la langue bretonne, l'oublier volontairement, comme le font tant de Bretons, et tant d'institutions en Bretagne, suivant en cela les ordres des autorités françaises*, c'est marquer une fermeture à une langue et culture qui sont leur langue et leur culture d'origine. Et quand je parle d'origine, je n'évoque pas la préhistoire : la transmission de la langue s'est arrêtée à la génération précédente, celle des parents, ou celle des grands parents. Refuser d'employer et de transmettre la langue bretonne en Bretagne, c'est nier tout un pan de notre culture et de notre identité.

C'est dans le refus de l'emploi de cette langue qu'est la fermeture. Le site internet du Comité régional du tourisme comporte cinq entrées, en cinq langues : pas en breton. Pas une page... Qui est "ouvert" ? Qui est "fermé" ? Cette fermeture à la langue bretonne se pare des atours d'une pseudo modernité en employant un anglais douteux. Cet anglais là, oui, est le signe d'un conformisme intellectuel, d'une ignorance de la culture régionale, et d'un manque d'imagination confondant. J'ose même croire, au contraire, que la langue bretonne peut-être un atout pour attirer des touristes en Bretagne...

Mais que fait la région ?
Il est décevant de voir que la région Bretagne, qui pourtant fait des efforts importants en matière de soutien aux langues régionales (le breton et le gallo), approuve cette campagne publicitaire, et l'absence de breton sur le site du CRT. Une politique linguistique doit être horizontale, et concerner tous les domaines de la vie, pas seulement l'école et l'enseignement du breton. Y'a-t-il, par exemple, un bretonnant au Comité régional du tourisme ? Ce ne serait pas inutile, et cela pourrait donner du travail à une personne ayant suivi les formations longues de breton (six mois), à but professionnel, que le Conseil régional finance par ailleurs...

Christian Le Meut

La campagne publicitaire "Be Breizh" est visible sur http://www.tourismebretagne.com/

M'eus ket amzer, hiriv, da skriv un destenn divyezheg, e galleg hepken e vo neuze, ma digarez.

07/08/2010

Embann/édition : Blanche neige et les sept nains parlent breton

"Gwenn erc'h hag ar seizh korrig" a zo titl "Blanche neige et les sept nains" e brezhoneg. Ul levr hag ur bladenn a zo bet embannet a-nevez get ti embann Tes.
Blanche neige et les sept nains parlent désormais breton grâce à l'album-CD qui vient de sortir aux éditions Tes sous le titre "Gwenn erc'h hag ar seizh korrig".

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarm...

Nevez : deskiñ brezhoneg e tebriñ katew/Apprendre du breton en mangeant des gâteaux

Ur sonj brav : deskiñ gerioù brezhoneg en ur debriñ katew... Ar stal Traoù mad n'eus savet an dra-se e "skrivañ" gerioù brezhoneg d'un tu a gofretez nevez, troet e galleg war an tu all.

"Sur le concept de la célèbre gaufrette du nord fourrée à la vanille, Olivier Kopp, directeur général de Traou Mad, a imaginé des inscriptions en breton. Recto le petit vocabulaire de base d'une centaine de mots en Breton, verso leur traduction en français, et voilà la Breizh gaufrette, qui sera toujours fabriquée dans le Nord, mais distribuée par Traou Mad." Pour en savoir plus :

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Apprendre-le-...

04/08/2010

Alan Stivell aterset get L'Express

Alan Stivell a zo bet aterset get l'Express.fr/Interview d'Alan Stivell sur le site L'Express.fr :

http://www.lexpress.fr/culture/musique/alan-stivell-la-br...

02/08/2010

Existe-t-il une identité occitane ?

Un destenn interesus a zo bet embannet war lerc'hienn Taban a ziar benn an "identelezh oksitan". Sur le site Taban, un article intéressant sur "l'identité occitane" :

http://taban.canalblog.com/archives/2010/07/30/18703078.h...

31/07/2010

Karaez/Carhaix : "Il existait un jeu destiné à punir ceux qui bavardaient en breton"

Setu ul lodenn ag ur pennad bet embannet barzh Le Télégramme, pajennoù Karaez, hiriv 31 a viz Gouere. Extrait d'un article paru aujourd'hui dans Le Télégramme, édition Carhaix.

"Ils sont une poignée, et portent sous leurs tempes grises la mémoire vive de Carhaix. Depuis six mois, ces résidants du foyer-logements de la Salette racontent leurs souvenirs..."

La langue bretonne : « Il était interdit de parler breton à l'école, c'était juste à la maison. On s'est retrouvé dans une drôle de situation, à devoir apprendre le français en trois mois. C'est comme envoyer des enfants français en Angleterre! Ma jeune soeur ne parlait que français, c'était un choix de mes grands-parents. Alors, quand elle gardait les vaches et que des passants lui parlaient breton, c'était à moi de faire l'interprète. (...) «Et puis, on était punis... Il existait un jeu destiné à punir ceux qui bavardaient en breton: le jeu de la bobine ou de la vache selon les écoles. La «vache» était un objet qu'on se passait, parfois c'était juste une pièce. Celui qui était attrapé à parler breton devait porter la vache et s'en débarrasser. Pour cela, il parlait breton aux autres pour qu'ils répondent en breton et que lui puisse leur refiler la vache. Celui qui avait la vache en fin de journée était puni (règle sur le bout des doigts, lignes à copier...). Ça se passait comme ça chez les Frères».

http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/chateauli...

27/07/2010

Pikardeg/Picard : ul lec'hienn internet

An dud dedennet get ar pikardeg (petra eo ar yezh-se, emen e vez komzet pikardeg, an istor, an embann, ha c'hoazh), a c'hell mont da welet al lec'hienn-mañ/Les personnes intéressées par la langue picarde  (qu'est-ce que le picard, où est-il parlé, son histoire, l'édition en picard, etc), peuvent aller s'informer sur le site suivant :

http://lanchron.dyadel.net/accueil.htm

26/07/2010

"Homme libre..."

houat036.jpgUn draezhenn vras a-dal d'ar Gerveur, da du kreisteiz enez Houad : Treh ar Salus. Ur c'hilometr a sabl astennet dirak an tevennoù, ha dalc'het gete. Ul lec'h kaer spontus. Ur bam. An noz a zo e tonet met an heol n'eo ket kuzhet c'hoazh. Eizh eur ? Nav eur ? Dek eur ? N'ouion ket, montr ebet genin. Avel 'zo, kreñv awalc'h, hag un nebeut kogus. Me 'zo e vale, sioul, war droad, tro dro enez Houad. N'eus kazimant den ebet e Treh ar Salus. Nemedon hag un den all. Ur gwaz, ur gasketenn ruz war e benn; gwisket mod ur pesketaer. Emañ war e sav evel ur peul plantet dirak ar mor, difiñv, e sellet dirazan. E zaoudroad noazh flouret get ar mor...

" Sell'ta, a sonjan-me, n'on ket ma unan a vout bamet get al lec'h-se, get an dremwell, get an oabl, ar mor, ar gwagennoù, get sonerezh ar mor, an avel hag al laboused..." "Homme libre, toujours tu chériras la mer", eme Charles Baudelaire.

300 den a zo e chom e enez Houad, d'ar gouiañv, met kalz muioc'h a dud a zo e-pad an hañv : tud ec'h ober kamping, tud deuet get bagoù dre lien (war dro kant a zo kostez Treh ar Goured, war du reter an enez)... Met emen emaint bremañ ? E tebriñ ? E evet ur banne er vourc'h ? E sellet doc'h ar skinwell ?

Eh on e tostaad d'ar mor ha d'ar gwaz e gasketenn ruz war e benn. Un dra drol a zo memestra : e vrec'h d'an tu dehoù a zo savet hag e zaouarn dehoù lakaet war e skouarn... Emañ e pellgomz !
"Homme libre, toujours tu chériras la mer... Et le téléphone portable".

CLM

Kartenn tennet ag ar gelaouenn Melvan.

25/07/2010

Keinvor...

N'em boa ket kaset genin geriadur ebet ba' ma sac'h kein, e enez Houad, e lec'h m'eus paseet un nebeut deizioù trankil, ec'h ober kamping. M'eus ket klevet brezhoneg komzet war an enezenn-se met ur bochad roudoù a chom ag ar yezh memestra, evel anvioù bagoù pesketa 'zo. War dro pevarzek pesketaer a labour c'hoazh : anvioù e galleg evit bagoù 'zo, met anvioù e brezhoneg ivez evel "Trouz er mor", "Bleiz mor", Gwenn ha du", "Bleuwenn mor", "Youl vat", "Bara pemdez", "Huennaden er mor", "Peoc'h a labour a peoc'h" ("Peoc'h ha labour" a vehe reizhoc'h d'am sonj), ha... "Keinvor". N'anavezen ket ar ger-se : "kein" a dalv "dos", "dos de la mer", neuze ? Drol vehe bet met habaskoc'h evit "les dent de la mer" ! Goude bout distroet er ger, ha kuitaet an enezenn-se kaer spontus, m'eus furchet ba' geriadur Favereau. "Keinvor" a dalv "mor-bras" pe "meurvor" met n'eo ket implijet kalz... Deuet eo ag ar ger kembraeg "cefnfor".
Desket 'vez bemdez, ha bourrapl eo.

Je n'avais pas emporté de dictionnaire de breton dans mon sac à dos, pendant les quelques jours que je viens de passer à camper, tranquille, à l'île de Houat. Je n'y ai pas entendu parler breton, mais les traces de cette langue sont très nombreuses, notamment sur les noms des bâteaux de pêche. L'île compte quatorze pêcheurs en activité et les noms de bateaux sont en français ou en breton comme "Trouz er mor", "Bleiz mor", Gwenn ha du", "Bleuwenn mor", "Youl vat", "Bara pemdez", "Huennaden er mor", "Labour a peoc'h", ("travail et paix" mais il aurait mieux valu écrire "Labour ha peoc'h" car "et" s'écrit "ha" en breton), ou encore... "Keinvor". Je ne connaissais pas le sens de ce mot : "kein", c'est le dos. "Le dos de la mer" ? Bizarre, mais plus pacifique que les "dents de la mer" ! Rentré à la maison j'ai vérifié dans le dictionnaire Favereau  et on y trouve bien "keinvor", mot inspiré du gallois "cefnfor" et qui signifie "océan". Mais il sert peu, en breton on emploie plutôt "mor-bras" ou "meurvor" pour "océan".
On en apprend tous les jours, et c'est bien.

CLM

Traoù all a ziar benn brezhoneg enezenn Houad :
http://rezore.blogspirit.com/archive/2009/08/17/enez-houa...

23/07/2010

Levr : Liñvadenn Kastellaodren

gouedard007.jpg

Ul levr tev eo Liñvadenn Kastellaodren, bet roet dezhan priz lennegel Sten-Kidna/Le Bono au long cours 2010 :  400 pajenn, 14 danevell. Ha n'eo ket an danevelloù hirran ar re blijusan. Barzh  "An distro", un den kozh, intañv, hag a zo e chom ec'h unan, a zistro d'ar gêr goude bout paseet ur miziad en ospital; ha plijus eo bet ar miziad-se : maget eo bet, tud a oa evit komz gete, bourrapl al lec'h. An diaesan eo distreiñ d'ar gêr : n'eus den ebet e c'hortoz anezhan du-hont...  An danevell all, "Alzheimer ur sulvezh", a zo fromus ivez ha  tost tre da vuhez pemdeziek tud tapet get ar c'hleñved-se.
"Ur muntr eo Kemper" a ziskouezh bourc'hizion prefeti Penn ar bed e kreiz an naontekved kantved. Un den kozh ha pitaod a zo bet lazhet e kreiz an noz. Ur barner, dimezeet get merc'h an den lazhet, a gas an enklask. Un danevell doare Balzac eo, treset brav. Istorioù karantez all e kaver barzh danevelloù H. Gouedard met istorioù karantez a echu fall, d'un doare spontus d'ar peurliesan. Un istor a zo fentus, alkent, e fin al levr : "Dornskridoù ar paourkaezh treul", get darempredoù boutin etre an dud : karantez, gwarizi...
An danevelloù o deus plijet din ar muian a zo ar re e lec'h m'en d'eus Hervé Gouedard lakaet tud gwir ha pas spurmantoù  (evel ma z'eus barzh "Penn ar chouan", "Al lec'h ne zistroer ket anezhan" pe "Stille Nacht..."). Ar skrivagner a ouia tresañ istorioù kriz, get un ambians pounner awalc'h. Betek re a wezhoù : al lenner a faota dezhan mont kuit d'ur bed all, e lec'h ma c'heller c'hoarzhiñ.  Un nebeut muioc'h a fent a vehe bet bourraploc'h. Hag Hervé Gouedard a oui sevel istorioù evel-se ivez.
Met, daoust da se, al lenner a vez tapet barzh rouedoù ar skrivagner memestra.

Christian Le Meut

Liñvadenn Kastellaodren ha danevelloù all, Hervé Gouedard, Embannadurioù Al Liamm, 2009, 15 €.


En français : cette note présente le livre de nouvelles d'Hervé Gouedard, Liñvadenn Kastellaodren, ("L'immersion de Chateleaudren"), qui a reçu le prix Sten Kidna-Le Bono au long cours 2010.

17/07/2010

Levr/Livre : 100 mots en breton

vacances027.jpgSetu levrioù bihan, speredek awalc'h evit ar re a faota dezhe deskiñ brezhoneg : ar rummad "100 mots en breton" embannet get Emgleo Breiz. Bez 'zo bet dija "100 mots en breton" ha "100 mots en breton pour faire des courses". Hag ar frasennoù embannet barzh al levrioù-se a c'hell bout selaouet war internet :

http://www.emgleobreiz.com/index.php?rubrique=audio

Met n'eo ket bet lakaet war internet c'hoazh frasennoù an hini diwezhan : "100 mots en breton pour vos vacances", nevet embannet. Dont a ri, moarvat...

Daou dra drol a zo memestra barzh al levr nevez : "Roazon eo kerbenn Breiz" (Breizh hep "h" evel ma vez skrivet gete). D'am sonj gwelloc'h vehe bet skrivañ: "Roazon eo kerbenn Breizh melestradurel", pe "Breiz pevar departamant"... Pe c'hoazh "Roazhon a zo kerbenn Breizh melestradurel..." Meur a feson a zo da sevel frasennoù a lâr ar memes tra e brezhoneg met e keñver an istor Naoned a c'hell bout gwelet evel "kerbenn" Breizh (ma z'eus d'ober ag ur "gerbenn")...
Ur frasenn all : ""Ur c'hours velo 'vez e miz Eost er vro ?"... "Ur redadeg marc'h houarn" ne vehe ket bet falloc'h, "redadeg" a zo aes da gompreiñ evit "course". Bon, setu tout ar pezh m'eus da rebechiñ d'al levrig bourrapl mañ. Pemp euro an tamm, n'eo ket ker evit deskiñ un nebeut brez(h)oneg.

Christian Le Meut

 

16/07/2010

Livre : 100 mots en breton pour vos vacances

vacances027.jpgLes éditions Emgleo Breiz ont lancé une collection de petits livres sympathiques et pratiques pour apprendre un peu de breton : "100 mots en breton". Il y a eu tout d'abord "100 mots en breton", tout simplement, puis "Cent mots pour faire ses courses", et enfin cent mots "100 mots pour vos vacances".
Exemples de question pour les courses : "Piou 'breno maillurennou evid ar babig ?" : "Qui achètera les couches à bébé ?". Très pratique pour les parents de familles bilingues (il y en a) !
Pour les vacances, la aussi, il y a des phrases très pratiques : "Sikour din da zevel an deltenn !", soit "J'ai besoin d'aide pour monter la tente !". On aurait aussi pu traduire par "Aide moi à monter la tente !" mais les deux conviennent.
J'ai un peu tiqué cependant sur "Roazon eo kêrbenn Breiz" : "Rennes est la capitale de la Bretagne administrative", oui, mais historiquement, ça se discute, Nantes peut être considérée comme la capitale historique. Et puis a-t'on besoin d'une capitale ? Les capitales de nos jours ont tendance à être envahissantes, que ce soit Paris, Nantes ou Rennes...


courses030.jpg Cette collection ne propose pas que de la lecture : on peut écouter les phrases sur le site de Emgleo Breiz. Une bonne façon d'apprendre !

http://www.emgleobreiz.com/index.php?rubrique=audio

CLM