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07/03/2013

N'eo ket ar memes galleg...

Setu ul liamm hag a gas betek ur pennad a ziar ur strollad c'hoariva/lien vers un article en breton sur une troupe de théâtre :
http://www.letelegramme.com/spered-ar-vro/strollad-gwinev...

21/12/2011

Pezh c'hoari : Largo desolato get Vaclav Havel

medium_largo117.jpg

Vaclav Havel a oa bet troet e brezhoneg/Vaclav Havel avait été traduit en breton. Setu ar pezh em boa embannet war Rezore e 2006/Voici une note publiée en 2006.

Largo Desolato zo unan ag ar pezhioù c’hoari brudetañ skrivet get Vaclav Havel e 1984, da vare an diktatourelezh e Tchekoslovakia. Troet eo bet e brezhoneg get J. Abasq hag embannet get Emgleo Breiz e 1993. 

Setu ur c’helennour, ur prederour, Leopold Kopriva, brudet bras en e vro evit bout en em savet a enep an diktatourion. Met n’eo ket en e aes memestra, aon en deus bout arestet ha toull-bac’het... Daou boliser a  zeu da ginnig un “emglev” dezhan a bezh ar gouarnamant : sinañ ur paper evit touiñ n’en deus eñ skrivet ar pezh a zo bet embannet edan e anv... Pe bout kaset d’al lezvarn. Ar bolisourion a ya kuit e reiñ un nebeut amzer d’ar prederour da brederiañ...

War lerc’h daou zen all, daou vicherour a zeu da galonekaat Kopriva, da lâr dezhan kenderc’hel e stourm. Hervezo ar bopl n’eus afer a dud eveltan a embann ar wirionez... Mignonned ha mignonnezed all a zeu da gomz getan met kollet awalc’h eo, ar prederour, war  e seblant. Sinañ pe pas ? Bout barnet ha toull bac’het pe chom “dieub” ? 

Diskouezhet eo barzh ar pezh c'hoari se get Vaclav Havel penaos a veze graet get an diktatourion d'ar c'houlz-se : ur sort jahinerezh e c’hourdrouziñ an dud, e reiñ aon dezhe. Met, a benn ar fin, petra vo divizet get Kapriva ? Havel e unan zo bet toull-bac'het e pad bleadeù evit bout lâret ha skrivet e sonjoù edan an diktatourelezh kommunour.

Galleg : la pièce de Vaclav Havel, Largo Desolato (1984), a été traduite en breton en 1993. Elle montre un instant de la vie d'un intellectuel résistant à la dictature : signer ou pas une déclaration que lui propose deux policiers de la part du gouvernement, où il affirmerait ne pas être l'auteur de ses écrits... 

Christian Le Meut

19/10/2010

Levr : Les monologues du vagin troet e brezhoneg

Ar pezh c'hoari Les monologues du vagin a zo bet troet e brezhoneg.
La pièce de théâtre Les monologues du vagin vient d'être traduite en breton.

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=20260&am...

18/01/2010

C'hoariva/Théâtre : ur strollad nevez e Kemper

Ur strollad c'hoariva e brezhoneg a zo bet savet get tud a vicher e Kemper. Betek bremañ ne oa nemet Strollad ar Vro Bagan hag a oa a vicher, ar strolladoù all a c'hoari e brezhoneg a vez dalc'het get tud a youll vat.
Une compagnie professionnelle de théâtre en breton vient d'être constituée à Quimper. Jusqu'à maintenant, seules la troupe Strollad ar Vro Bagan était professionnelle, les autres troupes de théâtre bretonnantes sont tenues par des bénévoles.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Theatre-en-br...

30/03/2009

Rémi Derrien a zo aet d'an Anaon/Décès de Rémi Derrien

Remi Derrien, skrivagner, kazetenner, aktour, jubennour, a zo aet d'an Anaon dec'h, d'an oad a 63 vloaz, e Brest :

Rémi Derrien, écrivain, journaliste, acteur, traducteur, est décédé hier à l'âge de 63 ans, à Brest :

http://languebretonne.canalblog.com/

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=14668

27/10/2008

Peuchère, Marius a perdu son accent marseillais !

On lit parfois dans la presse des citations qui surprennent un peu comme celle-ci, tiré du Monde (30 septembre 2008), concernant la mise en scène de la pièce de Pagnol, "Fanny", par la Comédie française, jouée sans l'accent marseillais : “Ce choix est revendiqué haut et fort par Muriel Mayette, l’administrateur général de la Comédie-Française, et par Irène Bonnaud, la metteuse en scène de la pièce, qui entend rendre justice à “l’universalité” de Pagnol, et “démontrer que Fanny n’est ni folklorique ni pittoresque, mais une des grandes oeuvres du répertoire théâtral français”.

Parce que jouée avec l'accent marseillais,"Fanny" serait "folklorique" et "pittoresque" ? Pourquoi ça ?  Pourquoi l'accent marseillais serait-il moins "universel" que l'accent français standard que l'on entend dans les médias ou à la Comédie française ? Jouer Fanny sans cet accent, pourquoi pas, mais pourquoi prétendre que cela rendra la pièce plus "universelle" ? Le français se parle dans le monde entier avec des centaines, ou des milliers, d'accents différents à Toulouse, Lyon, Bordeaux, Marseille, Genève, Dakar, Bamako, Bruxelles, Port-au-Prince, Québec, et j'en passe. Ces accents là aussi sont "universels", tout autant que l'accent français standard qui sert dans la plupart des médias, mais ces derniers nous habituent peu, hélas, à cette variété d'accents.

J'ai le souvenir d'avoir vu les trois films de Pagnol, la trilogie, Marius, César, Fanny : le fait que les acteurs parlaient avec l'accent de Marseille (sauf M. Brun, un Lyonnais, lui), n'empêchait ni la compréhension, ni de goûter à la profondeur du texte, mais rajoutait, au contraire, une vraie saveur. Qui sait si, en perdant son accent, Marius ne risque pas, au contraire, de perdre un peu de son "universalité" ? Les personnes qui voudront se faire une idée pourront regarder cette pièce samedi prochain, 1er novembre, sur France 2.

Christian Le Meut

Peuchère ! Marius 'n'eus kollet e taol mouezh !

Lennet  e vez traoù drol, barzh ar c’hazetennoù, a wezhoù : ar pezh c’hoari Fanny, skrivet get Pagnol, a zo kinniget e Paris hiriv an deiz get ar “C’homedie française” hag an aktourion ne gomzont ket get taol mouezh Marseilh... Ar perak a zo displeget mod-se barzh Le Monde (30/09) : “Ce choix est revendiqué haut et fort par Muriel Mayette, l’administrateur général de la Comédie-Française, et par Irène Bonnaud, la metteuse en scène de la pièce, qui entend rendre justice à “l’universalité” de Pagnol, et “démontrer que Fanny n’est ni folklorique ni pittoresque, mais une des grandes oeuvres du répertoire théâtral français”.
Ha perak e vehe “folklorique” ha “pittoresque” komz galleg doare Marseilh war al leurenn, e Pariz ? Perak dilezel an taol mouezh-se ? N’eo ket ken “hollvedel” evit an taol mouezh “standard” klevet e Paris, er mediaioù ha c’hoazh ? Ha doujus eo, an dibab-se, e keñver Pagnol e-unan ?
Meur a feson a zo da gomz galleg, e Marseilh, Tolosa, Bourdel, Lille, Bruxelles, Genève, Dakar, Beyrouth, Montréal, ha me oar me. “Hollvedel” int, holl. Met pas evit tud zo a gav gwelloc’h lakaat un taol mouezh galleg “standard” (ho hini marteze), e begoù Marius, Fanny, Escartefigue, ha c’hoazh. Domaj eo, d'am sonj, rak an taol mouezh-se a gas saourentez d’ar pezh c’hoari (a vo skignet a-benn disadorn war Frans 2).

04/01/2007

C'hoariva : staj gouleier/stage sur les lumières au théâtre

Staj "Gouleier" d'an 13 ha 14 a viz Genver 2007 : ur staj a vo gant François Eric Valentin, diwar benn ar gouloù er c'hoariva, ar pezh a zegas d'ur pezh-c'hoari. Aozet e vo e Karaez, sal pleustriñ Kreizenn Glenmor, d'ar Sadorn 13 ha d'ar Sul 14 a viz Genver 2007. Digor eo d'an holl, koulz d'an deknisianed ha d'an aktourien. Lakaait hoc'h anv abred, n'eus nemet 12 plas (kasit dre bostel).Digoust eo evit izili C'hoariva. Titouroù all a vo dizale diwar benn bod ha boued (e ti Kerampuilh), ha resisadurioù diwar-benn ar staj war al lec'hienn internet.

Stage (en breton très certainement, même si ce n'est pas spécifié) sur les lumières au théâtre, ouvert aux techniciens et aux acteurs. Carhaix, 13-14/01/2007. 


C'hoariva, kengevredigezh ar c'hoariva brezhonek / Fédération du théâtre en breton, 02 99 37 04 16
morwena.audic@free.fr
http://www.teatr-brezhonek.org/


03/01/2007

C'hoariva e brezhoneg : Mistero Buffo

Mistero Buffo a zo ur pezh c'hoari nevez e brezhoneg, skrivet get Dario Fo ha kinniget get Strollad Penn ar bed. C'hoariet vo d'ar :

Sul 14 a viz Genver 2007da 3e goude kreisteiz, e Kerrien;

Sul 18 a viz C’hwevrer 2007 da 3e goude kreisteiz, e Kastell-Paol, sal Santez Tereza;

Yaou 29 a viz Meurzh 2007da 8e30 noz, e Kemper, sal Ti an Holl Kerfeunteun;


Gwener 30 a viz Meurzh 2007da 8e30 noz, ePondi, sal nevez;

Devezhioù all da zont...

 

Teatr Penn ar Bed, c/o Jakez Andre211, straed Verdun, 29200 Brest. Pg. : 02 98 41 67 54.

jakezandre@hotmail.com

ronanhirrien@hotmail.com

www.teatr-brezhonek.org

Embannet eo bet testenn Mistero Buffo – kempennet gant Teatr Penn ar Bed – e ti Emgleo Breiz, 10 straed Kemper 29200 BREST (02 98 02 68 17).

Une nouvelle pièce de théâtre sur les scènes bretonnes : Mistero Buffo. 

22/04/2006

Malachap Story c'est fini, damned !

Malachap Story, c’est fini : damned ! Peut-être avez-vous ce western en breton joué par la troupe de théâtre C’hoarivari, de Languidic. Sinon, je vous résume la situation : Malachap Story a été traduit en breton à partir d’une pièce de théâtre écrite en français par René de Obaldia, “Du vent dans les branches de sassafras”. Il s’agit d’un western parodique et humoristique d’une durée de trois heures, mais réduite à une heure et demie en breton.

La troupe C’hoarivari a joué Malachap Story une vingtaine de fois depuis janvier 2005 à Languidic, Lanester, Baud, Lorient, Plouay, Auray, Vannes, Pontivy, Hennebont, Lizio, Quimperlé, Carhaix et Nantes. Environ 1.200 spectateurs ont vu cette pièce qui rassemblait huit actrices et acteurs sur scène dans le rôle d’une famille de colons étasuniens, la famille Gourvenneg, menacés par une révolte indienne. En ce qui me concerne,  je jouais le rôle de Billy James, un shérif macho et un peu frimeur quand même.

Un spectacle en breton
Il n’y a pas tellement de spectacles en langue bretonne et le théâtre permet, justement, d’en proposer. Malachap Story s’adressait à toutes les générations, les enfants riant du comique visuel, très développé par la mise en scène d’Yvette Brustiec, tandis que les bretonnants confirmés, notamment les plus anciens, pouvaient se délecter des quiproquos, jeux de mots et situations délicates. Car il y a un peu de Vaudeville dans ce western. Certaines personnes se sont étonné ou amusé que l’on fasse parler breton à des Indiens et des cow-boys. Mais les Indiens parlaient leurs propres langues, et les cow-boys, comme leur nom l’indique, ne parlait pas spécialement français...

Acteur : plusieurs métiers à la fois
Si vous êtes acteur dans une troupe de théâtre amateur, vous êtes plus qu’un acteur : vous êtes aussi couturière pour coudre les costumes, menuisier pour bâtir le décor, déménageur pour installer le décor puis le ranger; chauffeur, encore, pour transporter ce lourd décor, fait de panneaux en vrai bois reconstituant un ranch, à travers les routes bretonnes dans une vieille remorque brinquebalante, en priant, même si vous n’êtes pas croyant, pour qu’elle tienne jusqu’au lieu de la représentation ou pour que vous ne soyez pas arrêté par une troupe de gendarmes, qui jouent une autre pièce !

Pour toutes ces raisons, le théâtre est un peu stressant avant d’entrer sur scène. Mais, une fois sur scène, le stress disparaît. Jouer quelqu’un d’autre, un personnage que vous n’êtes pas dans votre propre vie, est plutôt une expérience amusante. Mais il y a aussi, sur scène, quelques stress inattendus. Un acteur oublie une phrase, ou inverse des répliques : à ces partenaires alors de se débrouiller pour aller de l’avant. Parfois une scène commençait par sa fin et finissait par son début, mais nous étions les seuls à nous en rendre compte. Parfois, nous devions faire face à quelques problèmes techniques : la personne qui s’occupait du son se trompait et la musique ou les bruits  arrivaient trop tard, ou trop tôt... Dans tous les cas, il fallait s’adapter.

Trois mamies hilares
Nous avions fini par avoir un fan club : plusieurs personnes sont venues nous voir deux ou trois fois. A Carhaix, en janvier dernier, nous avons joué devant environ 300 jeunes, collégiens et lycéens de Diwan. Il est plaisant de jouer devant des salles pleines, mais nous en avons également connu de presque vides, ce qui est un peu plus décevant par rapport au travail fourni, et même si le public est de qualité. A Baud, le public fut, disons, clairsemé... Mais, trois dames d’un certain âge n’ont pas arrêté de rire tout au long de la pièce aux aventures de la famille Gourvenneg. Et ces rires là étaient une  récompense.

Loin de Brest, Quimper ou Rennes
Nous avons aussi eu la visite de quelques journalistes mais, parmi les journalistes bretonnants, peu on fait le déplacement. Trois sont venus regarder la pièce et ont fait une émission ou un article : Radio Bro Gwened, TV Breizh et l’hebdomadaire Ya! Nous avons eu également quelques échos sur France Trois ou France Bleu... Mais pas grand chose. Il est vrai que nous cumulions les handicaps : nous jouions en breton vannetais et en Morbihan. Le Morbihan, c’est loin de Rennes, de Quimper ou de Brest et il faut un visa pour y venir.  Ah non, il n’en faut pas, de visa ?...
Mais il y a tellement de pièces en langue bretonne qui circulent que nos journalistes bretonnants doivent choisir... Ah non, il n’y en a pas tant que cela ?...

Malachap Story, c’est donc fini, après une vingtaine de représentations mais une autre troupe de Languidic, Deomp ar gwar, vient de prendre le relais avec deux pièces en langue bretonne. Bonne chance à eux. Quant à nous, nous avons rangé nos colts pour nous reposer un peu et aller vivre de nouvelles aventures.
‘I’m a poor lonesome cow boy”...
Christian Le Meut

Echu eo Malachap Story : damned !

Marteze peus c’hwi gwellet ar pezh c’hoari Malachap Story kinniget get ar strollad C’hoarivari a Langedig. Ur western oa, e breton mar plij, troet ag ur pezh c’hoari skrivet e galleg daou ugent vloaz zo hag anvet “Du vent dans les branches de sassafras...”. Kinniget eo bet ugent gwezh er Morbihan : e Gwened, Pondi, An Alre, An Oriant, Lannarster, Baod, Ploue, Lizio, Langedig, met iwez e Naoned, Karaez ha Kemperle. Ar dro daouzek kant den o deus gwellet an arvest se. Eizh aktour oa war al leurenn, ha me en o mesk, e c’hoari ar sheriff Billy James, ur macho hag en em gave, ur sort.

Bourrapl bras eo c’hoari teatr e brezhoneg. N’eus ket kement se a arvestoù en hor yezh hag an teatr zo un doare da ginnig unan da razh an dud : ar re gozh hag ar re vunut. Hervez al lec’h, an dud ne c’hoare ket ag ar memes tra. Ar vugale a c’hoare kentoc’h get an traoù farsus da wellet, hag ar re gozh get an traoù farsus da glewet. Tud zo o oa bet souezhet e wellet Indianed ha ckwboyed kaozeal breton... Met an Indianed hag ar gowboyed ne gomzent ket galleg anezhe. Yezhoù indian pe saozneg, ne lâran ket...

Traoù dic'hortoz war al leurenn
Nec’hus oa araok c’hoari a gaos da razh an traoù se, met, ur wezh kroget ar pezh c’hoari, achu oa get an aon. Ret oa krog a barzh ha derc’hel betek fin an arvest. C’hoari un den all, un den n’oc’h ket barz ho buhez pemdeziek, zo bourrapl. Met traoù diaes ha dic’hortoz oa ivez ar al leurenn : diaesamentoù teknikel, da skouer. A wezhoù an dud a rae war dro an teknik (aktourion ne oant ket war al leurenn d’ar c’houlz se, pe mignonned all), a farie, ha ne yae ket, ne glote ket mat an trouzioù, ar sonerezh, get ar pezh a oa war al leurenn.

Ni hor boa ur fan klub : tud zo oa daet da wellet ar pezh c’hoari div pe ter gwezh ! E Karaez hon eus c’hoariet dirak tri c’hant den yaouank : skolajidi ha liseidi Diwan. Ur bochad tud, fiskal a oa. Met, e lec’hioù all, c’hoariet hon eus dirak un ugentad pe un tregontad a dud. Tud a galite, ne lâran ket, met dipitus oa un tamm e kenver hor labour hag hor amzet paset. E Baod, ne oa ket kalz a dud met gwellet m’boa, e fons ar sal, ter vaouez gozh e c’hoariñ e pad ar pezh c’hoari a bezh. Ha laouen oan memestra.

Morbihan : re bell a Vrest, Gemper, Roazhon...
Kazetennerion hon eus gwellet ivez met, e mesk ar gazetennerion a gomz brezhoneg, pas kement se, benn ar fin. Ur pennad e brezhoneg oa bet embannet barzh ar gazetenn Ya ! Abadennoù oa bet war Radio Bro Gwened ha TV Breizh, hag un tammig traoù war F3 ha France Bleue ivez, met ar re se n’int ket deuet da wellet ar pezh c’hoari evit gober ur reportaj. Ne dalve ket ar boan, marteze, kement a bezhioù c’hoari a zo e Breizh hag e brezhoneg, hiriv an deiz !
Ha nann... n’eus ket kalz ?

Met, gwir eo lâret, dre hor faot deomp ni oa : ni c’hoarie e gwenedeg hag er Morbihan, ouzhpenn. Re bell, marteze, a Roazhon, a Gemper pe a Vrest. N’eo ket ar vruderezh graet genomp-ni a vanke met, anzav a ran, ret eo kaout ur visa evit donet er Morbihan.
Ha nann, n’eus ket afer ?

Echu eo, neuze, get Malachap Story. Renket hon eus hor c’holtoù. Met ur strollad all a Langedig, Deomp ar Gwar, n'eus savet daou bezh c’hoari. Chans vat dezhe evit o aventurioù nevez.
Ha ni da ziskuizhan un tammig araok avanturioù nevez...
“I’m a poor lonesome cow boy...”.
Christian Le Meut

13/03/2006

Malachap Story : echu !

Ar pezh c'hoari Malachap Story a zo bet kinniget evit ar wezh diwezhañ e Ploue (Morbihan), d'ar sul 12 a viz Meurzh, e sal ar gouelioù, evit ar skol divyezheg publik.

Malachap story zo ur western tennet ag ur pezh c'hoari fentus skrivet e galleg get René de Obaldia, "Du vent dans les branches de sassafras". Lakaet eo bet e brezhoneg istor familh Gourvenneg, labourizion douar e tal Malachap city, er C’hentuky, e penn kentañ an XIXed kantved. Met n'eo ket sioul ar vuhez get an Indianed a zo war hent ar brezel... Bec'h ha trouz vo er vro tudoù, e pad un euriad hanter.

Malachap Story a zo bet kinniget ugent gwezh get ar strollad C'hoarivari abaoe miz Genver 2005 : e Langedeg, Baod, Ploue, Pondi, Gwened, An Alre, An Oriant, Lannarster, Hen Bont, Saint-Vincent sur Oust, Lizio, Naoned, Karaez ha Kemperle. Ar pezh c'hoari zo bet gwellet get war dro 1.200 den.

Eizh aktour oa war al leurenn : Maurice Jouanno (Job Gourvenneg), Armelle Boullé (Anna Gourvenneg), Marc Brustiec (Doktor Ar Floc’h), Yann Collias (Kevin Gourvenneg), Natacha Ar Gall (Jennifer Gourvenneg), Kristen Pennberr (Lagad Klujar ha Lagad Erer), Yvette Brustiec (Deborah - Buan el un tenn); Christian Le Meut (James Billy).
Leurennourez : Yvette Brustiec.


Malachap story : the end !
La pièce Malachap Story a été présentée pour la dernière fois à Plouay (Morbihan) dimanche à la salle des fêtes, au profit de l'école primaire bilingue de Plouay par la troupe C'hoarivari. Elle a été présentée 20 fois depuis le début de l'année 2005 : à Languidic, Baud, Plouay, Pontivy, Vannes, Auray, Lorient, Lanester, Hennebont, Saint-Vincent-sur-Oust, Lizio, Nantes, Quimperlé, Carhaix. Il s'agit de l'adaptation en breton d'un des rares westerns écrit en français pour le théâtre et créé sur scène il y a une cinquantaine d'années avec Michel Simon dans le role principal. Des fermiers blancs sont encerclés par des tribus indiennes en révolte : bec'h ha trouz er vro, tudoù ! Les spectateurs y retrouvent certains clichés du western : la famille de colons, le docteur alcoolique et couard, la prostituée courageuse, le shériff macho, le jeune cow-boy voulant devenir shériff, l'Indien ami des blancs, l'Indien alcoolique...

Huit acteurs étaient sur scène : Maurice Jouanno (Job Gourvenneg), Armelle Boullé (Anna Gourvennec), Marc Brustiec (Doktor Ar Floc’h), Natacha Ar Gall (Jennifer Gourvenneg), Yann Collias (Kevin Gourvenneg), Yvette Brustiec (Deborah), Kristen Pennberr (Lagad Klujar et Lagad Erer), Christian Le Meut (James Billy). Mise en scène : Yvette Brustiec.