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31/05/2010

Brezhoneg war Facebook/Du breton sur Facebook

Tud' zo a flap e brezhoneg war facebook :
Un site facebook est consacré à la langue bretonne :

http://www.facebook.com/group.php?gid=374287887510&re...

26/05/2010

Frans 3 : Bretoned e New York/Des Bretons à New York

A-benn disul e vo skignet war F3 un abadenn Red an amzer enrollet e New York. Setu kemenadenn F3  :
"A-hed miz Mae e oa sevenadur ar vro o virvilh gant Gouel Breizh/Gouel Erwan. E Breizh da gentañ penn gant a bep seurt gouelioù, festoù, abadennoù… Met un tammig e pep lec’h dre ar bed ivez ez eus bet aozet ha savet gouelioù gant ar Vretoned. Niverus eo Bretoned an diaspora hag e kêrioù zo e tiskouezont bezañ bev mat evit en em vodañ ha reiñ lañs d’o sevenadur ha d’o yezh orin, evel e New York da skouer.
Un droiad en deus graet Bernez Rouz a-hont. Kinnig a ra deoc’h mont d’e heul, kejañ gant Bretoned New York, strollet en ur gevredigezh anvet BZH-New York, Charles Kergaravat en o fenn.  Enoret o deus Youenn Gwernig, Breizhad eus Skaer, a zo bet o chom er gêr vras-se e-pad meur a vloavezh. E-pad ma oa ar Cyber fest-noz o vont en dro e Roazhon e oa Bretoned New York o tañsal ivez, pedet o doa Louise Ebrel, Ifig Flatres hag ar strollad Dièse 3. Sonerezh ha dañsoù ar vro o doa tregernet dre ar bed d’an 22 ha 23 a viz Mae."

Dimanche sur F3 (11h30), émission spéciale en breton enregistrée à New York. Voici le communiqué de France 3  :
"La Bretagne s’est mise à la fête tout au long du mois de Mai. 19 mai, fête de la Saint-Yves, patron des Bretons, oblige. Des manifestations de toutes sortes ont fleuries partout en Bretagne et bien au-delà. La diaspora bretonne est importante et active dans ne nombreux pays. C’est le cas à New York où l’association BZH-New York regroupe les Bretons de la grande cité autour de leur président Charles Kergaravat. BZH-NY a rendu hommage à Youenn Gwernig, originaire de Scaër et qui a habité la ville durant de nombreuses années. Le 22 mai ils étaient partie prenante dans le Cyber fest-noz mondial organisé à partir de Rennes. Louise Ebrel, Ifig Flatres et le groupe Dièse 3, invités à New York, les ont fait danser. Bernez Rouz faisait partie du voyage et vous propose de revivre ces moments forts."

25/05/2010

Div gontadenn divyezhek da selaoù/Deux contes bilingues à écouter...

Ma faota deoc'h selaoù div gontadenn e brezhoneg hag e galleg, a ziar ar gwenan, kit d'o selaoù war lec'hienn internet Kerlenn Sten Kidna. An hini kentañ a zo kentoc'h e galleg, get gerioù brezhoneg, hag an eil, An daou vreur, e brezhoneg hag e galleg betek ar fin. Lâret int bet get Daniel Carré e-pad noziad ar mirdioù, d'ar sadorn 15 a Vae, e mirdi Saint Degan, e Brec'h. Selaouit mat, n'eo ket kreñv bras ar son...

Si vous voulez écouter deux contes bilingues, en breton et en français, sur le thème des abeilles, allez les écouter sur le site internet de Kerlenn Sten Kidna. Le premier est surtout en français, mais avec pas mal de mots en breton, et le second, Le deux frères, est bilingue de bout en bout. Ils ont été contés par Daniel Carré pendant la nuit des musées, le samedi 15 mai, au musée de Saint Dégan, à Brec'h (56). Ecoutez bien, tendez l'oreille, car l'enregistrement n'est pas très fort...

http://kerlenn-sten-kidna.nireblog.com/post/2010/05/20/no...

http://www.ecomusee-st-degan.fr/

18/05/2010

Ar Redadeg war Frans 3

Setu ar reportaj bet savet get Frans 3 Iroise e brezhoneg a ziar benn bilans ar Redadeg 2010, dilun paseet; m'eus ket bet amzer da glask ar bezh a zo bet graet e galleg. Mard unan ac'hanoc'h n'eus gwelet ur reportaj e galleg, larit din.
Ci-dessous le lien sur le reportage fait par France 3 Iroise, en breton, de bilan de la Redadeg 2010. Si vous avez vu quelque chose en français, merci de me le signaler, je mettrai le lien. Pour l'instant, je n'ai pas trouvé.

http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?...

13/05/2010

Redadeg : courir pour une idée

"Ar Redadeg, la course-relais pour la langue bretonne, est passée en pleine nuit, à 1h30, mercredi, dans les rues d'Auray. Objectif : courir pour soutenir la langue bretonne en récoltant des fonds pour son enseignement et sa transmission. Journal d'un participant.


1 h 30 du matin, Auray, km 351. La nuit est fraîche. Nous sommes trois coureurs qui attendons, avenue Wilson, dans ma voiture, à côté du panneau du kilomètre 351 posé par les organisateurs. André Arhuero, président de l'association Douar Alré; Frédéric Barbary, pour le magasin Breizh ma bro et le Bar breton (Brec'h), et moi, en tant que président de l'association Kerlenn Sten Kidna, association de cours du soir de breton pour adultes en pays d'Auray. Deux associations, deux entreprises et... une élue : ce kilomètre a été acheté par Kaou Hulaud, adjointe au maire d'Auray et conseillère régionale, qui a volontiers accepté que nous courions à sa place. La première voiture de la Redadeg arrive à l'heure et nous donne les tee shirts rouges où nos kilomètres respectifs sont inscrits. Le convoi suit : une camionnette, deux voitures, deux cyclistes qui font la circulation. Les warnings sont mis. La musique (bretonne) est à fond, notamment l'hymne de la Redadeg composé cette année par le Pluvignois David ar Gall, et enregistré par des enfants des écoles Diwan avec le groupe Les Ramoneurs de menhir.

Dans la camionnette deux animateurs, le Brec'hois Patrick Dréan et Monique Ar Voulc'h, annoncent qui a acheté chaque kilomètre. Le coureur précédant me passe le relai, un tube symbolique dans lequel a été mis un texte écrit par un écrivain breton, qui sera lu à l'arrivée à Pontivy, le 15 mai. En route.Les rues d'Auray sont désertes. En 2008, première édition de la Redadeg, elle passait à 17 h. Des sonneurs de la Kevrenn Alré et des chanteuses étaient venues animer la place piétonne derrière la mairie. Nous avions couru avec des enfants des écoles. Cette année, il n'était pas possible d'organiser un tel rassemblement en pleine nuit. Nous sommes donc entre adultes, pour l'instant. Au carrefour du Ballon un parent d'élève de l'école Diwan prend le relai. D'autres personnes attendent plus loin. En courant, on se réchauffe.

2 h 40, Pluvigner, km 362. Les relais se sont bien enchaînés depuis Auray. A l'arrivée à Pluvigner, une enfant court un km, accompagnée d'une adulte. Nous ralentissons le rythme, ça repose un peu. D'autres personnes nous attendent plus loin : des enfants, des parents, deux employés municipaux et un conseiller municipal, Christophe Lacombe, qui courent les km achetés par la commune. Les organisateurs ont eu l'idée de nous faire faire le tour du bourg : c'est que ça grimpe, à Pluvigner.. A la sortie du bourg, je prends place dans la camionnette pour me reposer. S'arrêter fait du bien, mais il faut lutter contre le froid persistant, alors que je suis en sueur, dans cette camionnette ouverte aux vents. On me sert un café. Plusieurs parents d'élèves de Diwan Baod (Baud), prennent le relai. Un peu plus loin, c'est tout un groupe de jeunes du bagad de Locminé (Kevrenn Locgunec'h) qui nous rejoint : il y a presque une dizaine de coureurs entre Pluvigner et Landévant ! La foule ! On se prend en photo, on rigole. Une personnalité, le navigateur Eugène Riguidel rallie également la course avec des membres de sa famille. Puis, à un relais, tout ce groupe s'arrête. Reste une dame venue courir avec son chien en laisse.

4 h, Landévant, km 373 : Eugène Riguidel réapparait. Une petite fille et un adulte courent avec lui. Le navigateur est un fidèle : il a fait traverser la Loire aux coureurs avec son bateau mardi matin, à Saint-Nazaire. Sortie de Landévant : certains acheteurs de km n'ont pas prévu de coureurs. C'est aux accompagnateurs de courir. Je reprends la course. Les premiers mètres sont frigorifiants. La température affiche 4 à 5 degrés. J'ai les doigts engourdis; regret de ne pas avoir pris de gants... Mais courir réchauffe.

4 h 36, Brandérion, km 379. Nous traversons Brandérion désert. Patrick Dréan et moi courrons les deux km achetés par notre association. Les relais se font plus rares sur ce tronçon. Patrick remonte dans le camion où il assure l'animation en breton avec Monique Ar Voulc'h. Frigorifiés eux-mêmes, ils tentent de donner courage aux coureurs en chantant et racontant des histoires. La nuit commence à s'éclaircir.

5 h 16, Hennebont, km 385. On tient le bon bout ! Nous sommes deux coureurs qui traversons la ville d'Hennebont. Déserte. Il y a un peu plus de circulation. Un troisième prend un relai un peu avant la mairie. Puis nous descendons vers le Blavet où le groupe qui prend en charge la portion Hennebont-Bannalec nous attend. Un relayeur est présent. Des cyclistes. Un conseiller municipal d'Hennebont aussi. Trois quatre minutes afin que chacun récupère ses affaires et que les nouveaux investissent les véhicules. La course repart, direction Lanester par les bords du Blavet.
A cette heure matinale, les oiseaux se livrent à un vrai concert de chants variés et agréables à entendre. Ils me font penser à la variété des chants et des langues humaines. Comme la diversité biologique et animale, la diversité linguistique est, elle aussi, menacée.
Hier, mercredi midi, le site internet de la Redadeg affichait 1060 km vendus sur les 1.200 km à vendre.
Arrivée prévue samedi 15 à 17 h 30 à Pontivy, en passant par Quimper, Morlaix, Saint-Brieuc, Carhaix... 1.200 km auront été courus : dans le froid, sous la pluie, de jour comme de nuit, par des milliers de relayeurs de (presque) tous âges. Ils courent pour une idée : montrer, pacifiquement, leur attachement à la langue bretonne et à sa transmission de génération en génération.


Christian Le Meut*
*Journaliste, président de Kerlenn Sten Kidna; kilomètre 351 et quelques autres ensuite...

Une version plus courte de ce témoignage est parue dans Le Télégramme, édition d'Auray, du jeudi 13 mai 2010.

http://www.letelegramme.com/local/morbihan/vannes-auray/a...

10/05/2010

Okitaneg/occitan : ur c'hlas divyezhek el lise/une classe bilingue au lycée de Carcassonne

Un hentenn divyezhek a vo digoret barzh ul lise e Bro Okitania, e Carcassonne ar pezh a zo nevez flamm du-hont. Muioc'h mui a skolioù "Calandreta", skolioù mamm ha kentañ derez, a vez digoret e lec'h ma vez desket okitaneg get ar vugale dre soubidigezh evel Diwan e Breizh. D'ober 'zo, neuze, a zigoriñ klasoù e okitaneg barzh skolajoù pe liseoù 'zo, evel ma z'eus e Breizh, met re nebeut. N'eus ket trawalc'h a skolajoù nag a liseoù get un hentenn divyezhek, hag ur bochad bugale a zilesk ar brezhoneg ar pezh a zo domaj bras.

Un filière bilingue va être ouverte à la rentrée prochaine dans un lycée de Carcassonne, ce qui est une nouveauté là-bas. De plus en plus d'écoles maternelles et primaines Calandreta sont ouvertes en Occitanie, où l'on apprend l'occitan par immersion, comme cela se fait à Diwan en Bretagne. Il est donc logique d'ouvrir des filières bilingues dans des collèges et lycées, sauf que cela se fait trop peu. Beaucoup d'enfants ayant appris le breton en primaire ne poursuivent pas au collège ni au lycée, faute de suivi au niveau de l'Education nationale, ou privée. La déperdition de connaissance et de compétence linguistique est importante.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/09/831725-Inedit-...

09/05/2010

Levrioù evit ar vugale/Livres pour enfants

togig010.jpg

Setu un nebeut levrioù e brezhoneg evit ar vugale, displeget genin e galleg (embannet eo bet ar pennad-mañ b'an Télégramme diriaoù paseet, 6 a Vae).

"L’histoire du petit chaperon rouge connaît de multiples versions en français, et c’est pareil en breton. «Togig ruz» (éditions TES, 12,5¤), de Geoffroy de Pennart, présente un petit chaperon rouge moqueur et dégourdi qui en fait voir de toutes les couleurs à ce pauvre loup. La traduction est assurée par Mark Kerrain.
«Kabellig ruz» est une version plus classique, au dessin plus figé, elle aussi éditée par TES (12¤), et accompagnée d’un CD sur lequel on peut entendre les voix, entre autres, de Nolwenn Korbell et Yann Bijer dans le rôle du chasseur qui sauve la grand-mère et sa petite-fille.
Dans le genre classique, TES a aussi édité récemment une version avec CD des «Trois petits cochons» («Tri femoc’h bihan»: 10¤), traduite par Tugdual Kalvez. La conteuse est Annie Ebrel et le loup est Guy Berthou. Les parents pourront également proposer à leurs enfants bilingues la version bretonne de «La chèvre et les trois biquets» («Ar c’havr hag he mennoù-gavr»: 10¤, avec CD).
Enfin, sans CD cette fois (dommage), l’histoire du «Géant de Zeralda» («Ramz Zeralda»: 10,50¤). Zeralda, petite fille aimant cuisiner, vit dans un pays dominé par un géant mangeur d’enfants! Par ses petits plats, Zeralda saura faire changer les goûts du géant, et les enfants ne vivront plus dans la terreur… Ce savoureux album est l’œuvre de Tomi Ungerer avec une traduction assurée par Mark Kerrain. Tous ces ouvrages sont édités chez TES".
Christian Le Meut

06/05/2010

Redadeg : la course pour la langue bretonne passera par le pays d'Auray mercredi

Kemenadenn a-berzh Kerlenn Sten Kidna/Communiqué de Kerlenn Sten Kidna (pays d'Auray) :

"Kerlenn Sten Kidna, le cercle culturel Sten Kidna, apporte son soutien à la Redadeg 2010, course-relais de 1.200 km qui partira lundi 10 mai à 10h30 de Rennes, passera par Nantes et Vannes (23 h mardi 11), avant de traverser nuitamment le pays d'Auray. A 1h30, la course passera par Auray où des personnes soutenant la langue bretonne se relaieront. Il s'agira de membres d'associations ayant acheté un kilomètre (notamment Kerlenn Sten Kidna), de représentants d'entreprises, de familles, de particuliers, de communes (Pluvigner notamment, Kaourintine Hulaud, conseillère régionale et maire adjointe d'Auray a acheté un km à titre personnel). La Redadeg traversera également les bourgs de Pluneret (1h15), Pluvigner (3 h) et Landévant (4 h). Elle arrivera à Pontivy samedi 15 mai à 17 h 30 après avoir traversé la Bretagne historique.
Des kilomètres sont encore en vente. On peut aussi acheter 50 mètres, pour 5 euros, auprès du Cercle Sten Kidna (02 97 29 16 58). Les personnes qui veulent courir, acheter un kilomètre ou donner un coup de main peuvent encore se faire connaître auprès du coordinateur pour la partie Vannes-Auray, Jerald ar Gov, 06 65 25 65 64"

jagbzh@orange.fr
Site internet où s'inscrire également : http://ar-redadeg.org/drupal/br

03/05/2010

Ar Redadeg : ur sonenn a zo ivez !

Ur sonenn a zo bet kompozet a-nevez evit ar Redadeg a loc'ho a Roazhon a-benn div sizhuniad bremañ. Ar sonenn a c'hell bout sealouet war lec'hienn ar Redadeg.
Une chanson vient d'être composée pour la Redadeg, course pour la langue bretonne, qui démarre de Rennes dans deux semaines maintenant ! La chanson peut-être écoutée sur le site de la Redadeg.

http://ar-redadeg.org/drupal/br

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan...

02/05/2010

Diversité linguistique : un tour d'Europe à vélo

"18.000km à vélo et 24 pays traversés... Emmanuel Le Merlus va s'engager pour un tour d'Europe à vélo afin d'aller à la rencontre des minorités linguistiques"... Da lenn war/A lire sur :

http://www.letelegramme.com/local/morbihan/pontivy/ville/...

Redadeg : tostaat a ra/La course pour la langue bretonne approche

Ar Redadeg evit ar brezhoneg e tostaat. Muioc'h mui a gilometradoù a zo gwerzhet. Ha ma faota deoc'h reiñ un taol skoaz, mont da redek, rieñ argant, kit war al lec'hienn. La course pour la langue bretonne approche. De plus en plus dekilomètres sont vendus. Si vous voulez donner un  coup de main, courir, allez voir sur le site :

http://ar-redadeg.org/drupal/br

Aotrou kannad ha maer Gwenrann a redo, hervez Ouest-France./D'après Ouest-France, le député maire de Guérande courra.

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Le-depute-maire-de-...