Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/01/2011

Nolwenn Leroy veut "Défendre la culture bretonne"

Setu ar pezh a lâr Nolwenn Leroy a ziar benn sevenadur Breizh, b'an Telegramme.
Lien vers un entretien avec la chanteuse Nolwenn Leroy paru dans Le Télégramme :

http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/...

Commentaires

En Bretagne, les Révolutions sont musicales. En s'inspirant d'Alan Stivell («qui a montré la voie»), en s'appuyant sur Miossec, Alan Stivell et Angela Duval, cette merveilleuse jeune femme est en train de faire la Révolution, toute seule.

Elle est en train de prendre les "bastilles" médiatiques les unes après les autres. Le phénomène produit dépasse largement le simple évènement musical, et il n'en est qu'à ses débuts. (Milène Farmer a vendu dans le même temps beaucoup plus de disques sans que cela produise la moindre onde à la surface de l'eau. «Bienvenue chez les Cht'is» n'a eu pour toute conséquence politique que de faire prononcer une ou deux phrases en ch'timi à une première secrétaire de parti socialiste.).

Les medias se mettent à retourner leur veste, à trouver bien ce qu'ils méprisaient. Ils commencent même à se demander ce qui se passe.

Les medias n'aiment pas ce qui est revendicatif. Les musiciens bretons, corses, basques, occitans, flamands, sont supposés revendicatifs, qu'ils le soient ou pas. Et donc pratiquement exclus des medias. Comme de toute façon ils sont supposés n'être pas bankable, autant les laisser où ils sont.

Dans les prochaines Victoires de la musique 2011, il n'y a pas un seul musicien breton de nominé. N'y aurait-il aucun musicien breton qui soit au niveau des musiciens français listés ? Il y a par ailleurs une catégorie, la catégorie «World musik» dans laquelle sont en concurrence, entre autres, une chanteuse algérienne, un chanteur sénégalais, et un groupe ... corse (I Muvrini). Le corse, c'est «world» ! Le breton aussi, c'est «world». (Et avec Nolwenn Leroy, ça risque de devenir encore plus «wolrd».)

Rappelez-vous Wikileaks, tout récemment : "La France s'est crée par la destruction de cinq cultures : bretonne, occitane, alsacienne, corse et flamande."

Ces propos ont été auto-censurés par les medias français, sans exception. Aucun politicien ne l'a repris. Aucun politicien breton ne l'a repris. Nos politiciens ne font honneur à personne, ne font pas honneur à eux-mêmes en faisant comme s'ils n'avaient rien vu, rien entendu. Ils ne font preuve d'aucun courage. La France s'est créé en détruisant la langue bretonne, et cela avec la pleine complicité de nos politiciens bretons, jusqu'à aujourd'hui.

Si nos politiciens avaient du courage et de l'honneur, ils iraient s'asseoir devant l'assemblée «nationale», ils réclameraient des droits pleins et entiers pour la langue bretonne et pour le gallo, et ils ne se relèveraient que lorsque ces droits seraient obtenus. Mais nos politiciens n'ont ni courage, ni honneur.

Il paraitrait qu'ils préparent une loi ! Une loi pour montrer qu'ils font quelque chose. Pour désserrer un peu l'Etaut, un tout petit peu.

Nos politiciens n'ont aucun honneur ni aucun courage. Les medias n'ont aucun honneur. Les uns et les autres sont opportunistes.


La Révolution aujourd'hui est musicale. Il faut que demain matin, elle soit aussi littéraire, cinématographique, picturale, philosophique, chorégraphique, linguistique, ...

Écrit par : Alwenn | 16/01/2011

Participer, c'est collaborer et courir le risque d'être éliminé par le système tout en le justifiant. La révolution bretonne musicale existe déjà depuis plusieurs décennies. C'est la plus facile et la moins efficace. Il nous faut surtout parler breton et rien que breton et reprendre les rênes de notre destin, politiquement et économiquement.

Écrit par : froud | 16/01/2011

froud, tu n'as rien compris à ce qui est en train de se dérouler. Comment beaucoup d'autres dans le milieu bretonnant ou brittophone.

Les mauvais procès, les faux procès, les accusations de toutes sortes, quand ce n'est pas les injures, proférés à l'égard de Nolwenn Leroy par de "vrais" (?) Bretons, sur Facebook, Youtube, ou ailleurs, me font honte et me choque.

Nolwenn Leroy, avec un disque 100% breton, avec une affirmation de son identité BRETONNNE, a créé une symbiose entre elle et les Bretons, a conquis la France, est en train de conquérir la Belgique, et demain et après-demain , si elle le veut , la Chine, le Japon, l'Afrique, l'Amérique, le Monde entier.

Nolwenn Leroy utilise les medias, le système, pour faire connaître à la France, et demain au monde entier, je l'espère, une langue, le breton, qui n'a aucun droit chez elle, alors qu'elle peut enchanter le Monde avec un poème d'Angela Duval et un chant traditionel comme Tri Martolod.

Le disque de Nolwenn, BRETONNE, est le disque du XXI siècle.

Il y a un avant BRETONNE, et il y a un après.

Écrit par : Alwenn | 18/01/2011

Si vous pensez que le disque BRETONNE, de NOLWENN LEROY, est LE disque du XXI siècle, tapez "+ 1" (sinon, tapez ce que vous voulez !)

Écrit par : Alwenn | 18/01/2011

Alwenn,
Votre analyse est encourageante et je souhaiterais de tout coeur que vous ayiez raison. Comme on le voit, lyrisme et enthousiasme vont de pair.

“La révolution surréaliste a fait plus pour la publicité que pour l’art”. Par cette phrase, Duchamp décrit un peu la généalogie du monde actuel que nou vivons ici ou ailleurs : panneaux publicitaires, clips videos sortis d’un atelier d’écriture automatique et détournement et exploitation des inconscients et de nos désirs, non pas la libération des individus ou des peuples mais l’inverse : création de fétiches, de marchandises.

Duchamp mettrait-il en garde contre ses soi-disantes avant gardes lyriques et inconscientes qui naives perdent le controle et se retrouve recyclées dans le même?

Voilà maintenant une pensée montrueuse désagréable car les mythes et leurs créateurs étant souvent divinisés, on ne doit ternir la légende sans peine de passer pour un rabat-joie ou plus.

“La révolution musicale bretonne que vous évoquez, connue de tous, encensée, souhaitée et quotidiennement mythifiée n’aurait-elle fait pas plus pour le notaire et les agences immobiliéres que pour la Bretagne ?”.

Cette terre belle, chantée, matérielle par ces bardes ne raméneraient-elles pas à une seule réaction: “Vous avez raison, c’est beau, j’achéte”. Amer.

Par la pièce de théâtre “Suzanne” de Roland Fichet (création des tombéees de la nuit 1995), le dramaturge morbihanais semble bien montrer comment le récit pesant de la bretonne Suzanne récupéré par le petit parisien ne raméne qu’à la vente du presbitére mais aussi à la création d’une pièce de théâtre. Le théâtre du théâtre.

Autrement dit. Cette condamnation au lyrisme, par le lyrisme (authentique, bien sûr) n’était il encore et toujours une manière de dire que l’âge de raison et la conscience apaisée est une affaire de parisien?

Pour conclure, aucune nouveauté dans le fait qu’une gloire de la révolution musicale bretonne ait été acclamée lors du FIL par 9000 personnes. L’originalité aurait été l’ahdésion de ses 9000 personnes à un parti politique breton (quelque soit la tendance choisie).

J’aimerais partager votre enthousiasme et souhaite me tromper dans les concessions présentées. Je ne peux m’empêcher de penser que l’enfermement de l’identité bretonne dans le lyrisme et non un équilibre avec la raison ne construira que des châteaux dans le ciel: une identité évanescense, aussi belle et mystérieure qu’une légende ou.... que Nolwenn Leroy

Écrit par : never | 18/01/2011

Alwenn,
Votre analyse est encourageante et je souhaiterais de tout coeur que vous ayiez raison. Comme on le voit, lyrisme et enthousiasme vont de pair.

“La révolution surréaliste a fait plus pour la publicité que pour l’art”. Par cette phrase, Duchamp décrit un peu la généalogie du monde actuel que nous vivons ici ou ailleurs : panneaux publicitaires, clips videos sortis d’un atelier d’écriture automatique et détournement et exploitation des inconscients et de nos désirs, non pas la libération des individus ou des peuples mais l’inverse : création de fétiches, de marchandises.

Duchamp mettrait-il en garde contre ses soi-disantes avant gardes lyriques et inconscientes qui naives perdent le controle et se retrouve recyclées dans le même?

Voilà maintenant une pensée montrueuse désagréable car les mythes et leurs créateurs étant souvent divinisés, on ne doit ternir la légende sans peine de passer pour un rabat-joie ou plus.

“La révolution musicale bretonne que vous évoquez, connue de tous, encensée, souhaitée et quotidiennement mythifiée n’aurait-elle pas fait plus pour le notaire et les agences immobiliéres que pour la Bretagne ?”.

Cette terre belle, chantée, matérielle par ces bardes ne raméneraient-elles pas à une seule réaction: “Vous avez raison, c’est beau, j’achéte”. Amer.

Par la pièce de théâtre “Suzanne” de Roland Fichet (création des tombéees de la nuit 1995), le dramaturge morbihanais semble bien montrer comment le récit pesant de la bretonne Suzanne récupéré par le petit parisien ne raméne qu’à la vente du presbitére mais aussi à la création d’une pièce de théâtre. Le théâtre du théâtre.

Autrement dit. Cette condamnation au lyrisme, par le lyrisme (authentique, bien sûr) n’était il encore et toujours une manière de dire que l’âge de raison et la conscience apaisée est une affaire de parisien?

Pour conclure, aucune nouveauté dans le fait qu’une gloire de la révolution musicale bretonne ait été acclamée lors du FIL par 9000 personnes. L’originalité aurait été l’ahdésion de ses 9000 personnes à un parti politique breton (quelque soit la tendance choisie).

J’aimerais partager votre enthousiasme et souhaite me tromper dans les concessions présentées. Je ne peux m’empêcher de penser que l’enfermement de l’identité bretonne dans le lyrisme et non l'équilibre avec la raison ne construira que des châteaux dans le ciel: une identité évanescense, aussi belle et mystérieure qu’une légende ...ou que Nolwenn Leroy

Écrit par : nevern | 18/01/2011

Alwenn, sache qu'il y a plus de 6000 langues menacée dans le monde et quelque soit la place conquise par le breton dans les médias et le marché mondial de la musique, ce n'est pas ça qui va sauver le breton... La musique populaire brésilienne est très riche, certainement la plus riche du monde (chorinho, frevo, baião, samba, bossa nova etc. mais le peuple brésilien ne l'écoute plus et lui préfère une "musique" commerciale paupérrime et obscène...
Vraiment, plus que jamais, la seule chose qui peut sauver le breton, c'est que les bretons le parlent à la place du français et se comportent en peuple souverain et non en larbins globalisés du totalitarisme jacobin...

Breiz-izel: eur vro , eur bobl, eur yez.

Écrit par : froud | 18/01/2011

finale du championnat du monde d'épluchures de patates à Quimperlé : Alwen vs Froud fin de la 1ère mi-temps , égalité .
l'exaltation c'est bien , vive Châteaubriant ! mais s'il faut saluer l'initative de Nolwenn et essayer d'en tirer le meilleur parti , culturel j'entends , il faudrait peut-être attendre un peu pour la béatifier non? ( canon elle l'est déjà , je trouve ...) .
parler breton aussi c'est bien mais croire que les 4 300 000 habitants de la péninsule aux 5 départements va s'y mettre comme un seul homme c'est comme qui dirait chercher un aphridisiaque dans l'oeuvre de Claudel , non ? ;-))
et puis "ur vro , ur bobl, ur yezh" çà fait un peu totalitarisme jacobin à la bretonne , vous ne croyez pas ?
allez on reprend la partie , balle au centre ...

Écrit par : buzhug | 19/01/2011

Alwen : ce n'est pas Nolwenn Leroy qui défend le breton, c'est Universal Music qui ne sait plus quoi produire, et faute de grives, on bouffe des merles.
elle dit qu'"elle dépoussière de vieilles chansons" ; quel affront pour ces chansons que d'autres ont portés haut, quel affront pour la Bretagne, pour les artistes qui la chantent.
Et oui, il y a des artistes qui défendent la BZh en breton et haut et fort, mais vous ne comprenez sans doute pas la langue pour saisir leur poésie. d'ailleurs vous n"achetez pas leur musique, tant qu'elle ne passe pas sur TF1, elle ne doit sans doute pas être assez bonne, ou branchée.
par contre, N Leroy, PPDDA, Miss France ça vous fait bander .
kenavo
Paol

Écrit par : Paol | 19/01/2011

Si Nolwenn voulait porter haut les couleur de la bretonnité, elle n'aurait pas choisi pour nom d'artiste LEROY au détriment de son nom véritable MAGEREZ (maguéresse/la nourrice)...

Qui vous parle des 5 départements ?
La Haute-Bretagne est française (gallo, c'est à dire français en breton) et le Duché de Bretagne a toujours été officiellement de langue latine et française (un siècle avant la France) et s'est toujours complètement royalement / ducalement foutu de la Bretagne bretonnante, la vraie, la seule!...

Le glas de la langue bretonne a été sonné par les jacobins de la révolution britto-française, puisque le club parisien des jacobins et d'origine rennaise, ville 100% français, tout comme nantes...

De même le gwenn-ha-du est composé de symboles héraldiques d'origine française (queues d'hermines de la famille des Dreux) et écclésistiques d'origine romaine (les évéchés qui ont supprimé les pays traditionnels (Ac'h, Kemened ili, Daoudour, Poukastel, Pouher etc...)

Quant à l'hymne breton, il est gallois...

(Là-bas, au Connemara, on sait le prix de la guerre, là-bas, au Connemara, on n'accepte pas la paix des Gallois, ni celle des rois d'Angleterre...) Même Sardou en sait plus long que vous...

Écrit par : froud | 19/01/2011

@ buzhug : je ne vois pas au nom de quoi tu viens t'instaurer juge et arbitre d'un match qui n'existe pas. Le but n'est pas d'opposer des personnes mais d'échanger des arguments.

Si j'ai mis "tapez 1", c'était pour tester si on pouvait créer un peu de buzz sur un blog breton (sans savoir si c'était une bonne ou mauvaise idée !).

Le "sinon, tapez ce que vous voulez !" était pour contrebalancer cette possible mauvaise idée, et permettre à chacun de développer son argumentation et de montrer l'étendue de son intelligence et de sa sensibilité !

Et là, je crois que c'est bien parti !!!



"elle dit qu'"elle dépoussière de vieilles chansons"" Paol

A en croire le site d'Alan Stivell, elle n'a jamais dit ça :

http://alan-stivell.discuforum.info/t1056-la-3eme-ou-4eme-vague-c-est-ce-sont.htm?start=30

Déformer les paroles de quelqu'un pour lui casser du sucre sur le dos est de "mauvaise guerre".

Écrit par : Alwenn | 19/01/2011

@ froud : on va essayer de rester aussi près que possible du sujet.

Merci

Écrit par : Alwenn | 19/01/2011

Et même, pourquoi pas, au coeur du sujet: la langue et la culture bretonne (bretonnante) et les conditions de son existence (survie)...

Écrit par : froud | 19/01/2011

Allez, pour ceux qui adorent TF1, et il semble qu'ils soient très très nombreux par ici :

http://videos.tf1.fr/infos/2011/nolwenn-son-succes-une-victoire-pour-la-langue-bretonne-6230615.html

Résumé : Nolwenn Leroy revient sur le succès de son dernier album "Bretonne", déjà vendu à 200.000 exemplaires. La chanteuse se dit fière d'offrir "à cette langue la place qu'elle mérite".

Je me contenterais d'ajouter qu'elle a 100 000 fois raison, et je m'arrêterai là, pour ne pas sombrer dans la béatitude et la double canonisation !!!

Vous vivez un moment historique, sans précédent depuis l'apparition de l'homme et de la femme sur la terre, essayez de l'apprécier à sa juste valeur, et de rendre justice à NOLWENN Leroy du travail immense qu'elle a réaliser en moins de deux mois.

@ Nevern : et il ne s'agit pas de lyrisme de ma part, mais d'une analyse tout ce qu'il y a de plus rationel.

Écrit par : Alwenn | 19/01/2011

Je trouve que le fait que Nolwenn Leroy chante en breton ne peut être qu'une bonne chose. Maintenant, de là à croire que ça puisse avoir des retombées conséquentes sur le sort du breton, faut peut-être pas exagérer. Le "travail immense qu'elle a réalisé", ça me parait très exagéré aussi !

Pour ce qui est de son succès en terme de nombre de disques vendus, je crois qu'elle a (aussi) eu la chance de profiter du fait que la Miss France 2011 soit bretonne... Vous n'avez pas remarqué que depuis cette élection les grands médias parlent beaucoup de la Bretagne, et avec beaucoup de sympathie ? (TF1 en premier lieu, d'ailleurs, chaine qui appartient au même groupe que les Miss France...) C'en est presque choquant !

Ceci étant dit, j'apprécie la démarche de Nolwenn Leroy, et je ne peux que me réjouir de voir des chansons en breton remporter du succès en France.

Écrit par : Mahé | 19/01/2011

Ça a un effet boumerang : quand les gens découvrent que ceux qui chantent en breton ne pratiquent pas la langue, c'est un point de perdu pour le breton...

Écrit par : froud | 19/01/2011

Ce n'est tout de même pas comme si elle s'était contentés d'apprendre phonétiquement les chansons sans se soucier plus que ça de la langue. Elle a pris des cours et surtout elle a dit qu'elle continuait d'en prendre, qu'elle souhaitait continuer d'apprendre la langue.

Écrit par : Mahé | 19/01/2011

Ce n'est quand même pas comme si elle s'était contentée d'apprendre phonétiquement les chansons sans se soucier plus que ça de la langue. Elle a pris des cours, et surtout elle a dit qu'elle continuait d'en prendre, qu'elle souhaitait continuer d'apprendre la langue.

Écrit par : Mahé | 19/01/2011

c'est mettre la charrue avant les boeufs.

Je tiens à préciser tout de même que, malgré les apparences, mon propos n'est pas de critiquer Nolwenn. Ele est la seule comptable de ses actes et de ses motivations...

Ce que je critique, c'est l'idée que la sortie d'un disque en breton, au niveau hexagonal voire international puisse être de nature à descendre dans les rues en liesse pour commémorer le renouveau de la langue bretonne.

Même le bilinguisme est suspect, si la pratique marginale du breton sert de justification à la pratique dominante et ethnicide du français.

Le breton ne sera sauvé que s'il devient langue officielle et principale pour une partie conséquente de la population de Basse Bretagne, son territoire historique.

Écrit par : froud | 19/01/2011

evit Paol

kit da selaou war France 2 , an dimezell a lar
"je dépoussière de vieilles chansons"

ha lar din en-dro ar pezh 'peus da respont din.

Gourc'hemenoù Alwen F1
sans doute encore "un breton du 14 juillet au 15 aout"

Écrit par : Paol | 19/01/2011

c'est toujours l'arbitre qu'en prend plein la gueule ...;-((( mais il s'en fout l'arbitre , Nolwenn elle est belle , elle est Bretonne et elle chante bien de belles chansons en breton , elle a qu'un seul défaut :elle est avec un con de tennisman qui gagne plus que moi, français en plus ;-))) faudra la tondre à la libération ;-)))

Écrit par : buzhug | 19/01/2011

C'est vrai qu'en matière de collaboration (TOUTES époques confondues) les Bretons n'ont de leçon a recevoir de personne...

Écrit par : froud | 20/01/2011

@ Froud c'est vrai çà , même qu'il y a encore des bretons qui collaborent ... dans l'équipe de France de Foot , à eux on leur fait quoi ? ;-)))

Écrit par : buzhug | 20/01/2011

Et la chanson bretonne : An hini gozh ? Personne ne la réinterprète ? Un comble tout de même, quand on sait qu'elle reflète la bretagne profonde, n'est-ce pas ?

Écrit par : Lannoy | 02/04/2011

Les commentaires sont fermés.