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02/03/2010

Pannelloù divyezheg e Breizh : votit/Des panneaux bilingues en Bretagne : votez !

"Signalétique. Faut-il généraliser le bilinguisme français-breton ?" : setu ar pezh a zo goulennet hiriv war lec'hien Le Télégramme. Kit da votiñ ma karit. C'hwi a c'hell ivez lâr ho sonj.
Si vous voulez répondre à cette question, et donner votre avis, voici l'adresse :http://www.letelegramme.com/actualite-en-direct/

Hag e keñver Landrevarzeg, ur pennad nevez a zo bet embannet b'an Télégramme/Et par rapport aux panneaux installés à Landrévarzec, un nouvel article est paru dans Le Télégramme aujourd'hui mardi :
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne...

 

Commentaires

Bonjour,

Aucune utilité ce sondage a part de monter les internautes les uns contre les autres.

il suffit de se référer au sondage fiable de fanch Broudic.

Écrit par : mul | 03/03/2010

Comment-on fait pour connaître le résultat ?

Écrit par : DOUDOU | 04/03/2010

Bizarrement je ne vois plus non plus les résultats sur le site, mais ils étaient les suivants :

- oui : 78 %
- non : 18 %
- sans opinion : 4 %

(13062 votes)

Écrit par : Maheù | 04/03/2010

A présent on les voit correctement sur le site du télégramme .

Écrit par : Maheù | 05/03/2010

et quand le dernier nom de lieu français aura été bretonnisé, il sera temps de songer à ressusciter le dernier "primo-locuteur". Soyons clairvoyants, on est dans le symbolique et l'affirmation identitaire, cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas bretonniser les noms de lieu mais simplement qu'il faut être lucide sur la disparition du breton parlé. Personnellement un tel paradoxe me laisse un goût amer-trenk dans la bouche et me donne envie d'aller glaner ce qu'il reste ou d'écouter la superbe collection de breton parlé de dastum aujourd'hui dispo sur le net (voir le site dastum). Des gens modestes et ordinaires ont été enregsitrés, ils méritent une plus grande attention car ils sont, sans le savoir eux mêmes, le dernier puits breton où l'on trouve un breuvage limpide et non chimique. Selaouit ta pegen brao e teu ganto, un dudi ma cher !

Écrit par : dizeski | 05/03/2010

Salud deoc'h Dizeski
A-du on genoc'h penn da benn : ar pannelloù divyezhek a zo brav ha talvoudus, met ne gomzont ket. Mut int, ar pennoù peul-se. Labourat evit ma chomo bev ar brezhoneg a zo an dra talvoudusan evidon-me. Ha talvoudusoc'h evit ar pannelloù.
D'accord avec Dizeski : les panneaux bilingues (ou unilingues breton pour les lieux-dits), sont beaux et importants, mais ils ne parlent pas. Ils sont muets. Travailler pour que la langue bretonne reste une langue vivante, une langue parlée par une population, transmise de générations en générations, porteuse de culture, d'histoire et d'avenir, voilà le plus important à mes yeux. Kenavo deoc'h
CLM

Écrit par : Christian | 05/03/2010

L'école ne met en valeur que la littérature écrite, et que la littérature française, plus un petit nombre d'écrivain étranger.
La plupart des familles ne transmettent pas ou plus de culture, il n'y a que l'école (et télévision/radio/presse/internet, mais qui favorisent la culture majoritaire) qui peut le faire.

On se retrouve avec toujourrs le même problème. Les richesses de Dastum n'ont pas leur place dans l'organigramme de l'éducation national.

Les quotidiens pourraient inover et présenter dans leur colones (une fois pas semaine) des transcriptions de chansons récoltées par Dastum (avec un lien internet).

Ken ar wezh all
Alwenn

Écrit par : Alwenn | 06/03/2010

Les commentaires sont fermés.