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01/07/2006

Brud nevez 256

medium_brud256088.jpg Pennadoù skriv a feson a zo barzh niverenn 256 Brud Nevez  (mizioù Meurzh hag Ebrel). Un teuliad zo a fed ar merc'hed get ur pennad a ziout Natali ar Mel (Nathalie Le Mel), ur plac'h m'eus kinniget anezhi war ar blog man dija. Daou pennad war ar yezh a zo ivez : un atersadenn get Goulwena An Hénaff (Chench skeudenn ar brezhoneg) ha disoc'hoù un enklask bet graet tri ugent vloaz zo e Penn ar Bed get studierion Kloerdi Kemper. Met ar pezh bourraplan 'zo an danevelloù : "Ar garrigel" get Henri Dorsel, "Darempredoù gwirion get tud wirion" (Franzesa Ar Govello) ha dreist holl "Sonjennoù ur retredad nevez" (Fanch Perru); envorennoù fentus bras ur c'hantoner a ya war e leve. Beajoù zo ivez barzh Brud Nevez (Chili, Thaïland, Maroko); levrioù ha filmoù.

Brud Nevez, 10 ru Kemper, 29200 Brest. pellgomz : 02.98.02.68.17. www.emgleobreiz.com 

30/06/2006

1er juillet : "Non à la chasse à l'enfant"

"Samedi 1er juillet à 14h30 Place de la mairie  à Rennes : "Non à la chasse à l'enfant". Des enfants scolarisés dans les écoles sont menacés d'expulsion à la fin de l'année scolaire parce que leurs parents n'ont pas de titre de séjour. Ces enfants veulent vivre, grandir et étudier là où ils vivent depuis plusieurs années : rassemblement Solidaire et Citoyen Samedi 1er  juillet à 14h30 Place de la  Mairie à Rennes... Comme partout en France à l'appel du Réseau Education Sans Frontières35, des collectifs de l'école Guillevic, de l'école Joseph Lotte, du collectif de Chartres de Bretagne, de la Fédération des Conseils de Parents d'élèves 35, d'Amnesty, de la CIMADE, de la Ligue des Droits de l'Homme de Rennes et St Malo, du Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples 35, Relais Etrangers, du SDEN-CGT, du CNT-STE35, du SGEN-CFDT 35, du SNUIPP 35, de la FSU 35, des VERTS, de l'Union Démocratique Bretonne 35, de citoyens..."

29/06/2006

Commerce équitable et développement durable, disent-ils...

Il y a peu j’ai rencontré une factrice qui terminait sa journée de travail et nous avons discuté. Et elle n’était pas contente. Les tournées se rallongent car la population augmente dans la belle ville d’Hennebont et les facteurs ont de mois en moins de temps pour distribuer le courrier. Pourtant les factrices devraient être particulièrement satisfaites : elles sont désormais habillées (partiellement) avec des vêtements issus du commerce équitable. Des agriculteurs maliens cultivent du coton selon les critères de ce type de commerce notamment un prix d’achat minimum garanti, et ce coton est acheté par la société Armor Lux qui  a fabriqué  75.000 débardeurs pour les factrices, et d’autres modèles devraient suivre. Grâce à ce type de contrat, le commerce équitable se développe. La Poste affiche également son soutien au développement durable...

Oui mais, faisait remarquer la factrice, qui fait sa tournée en vélo, pendant ce temps là de plus en plus de camions sont mis sur les routes pour le transport du courrier, au détriment du train. Il n’y a plus de tri postal dans les trains, par exemple. La Poste a diminué le nombre de centres de tri dans les régions et, du coup, le courrier doit être centralisé pour être redistribué. Autrefois une lettre postée à Hennebont pour un destinataire hennebontais restait dans la commune. C’est fini, maintenant elle fait Hennebont/Vannes (la préfecture) et retour. Et encore, il a été question de fermer le centre de tri de Vannes pour centraliser le courrier à Rennes mais ce projet n’a pas encore été mise en œuvre par La Poste.

Plus de camions, moins de trains
Nos lettres et colis font donc plus de kilomètres qu’avant et les camions ont largement remplacé les trains. Plus de pollution, donc mais pas plus de rapidité : récemment, la Poste a même annoncé que les horaires des dernières levées du courrier seront avancés car les camions vont être soumis à de nouvelles limitations européennes de vitesse...  Mais ils sont aussi soumis aux embouteillages, aux accidents, aux pannes... Le train, ce n’est pas plus régulier ?

Beaucoup de tournées sont encore faites à vélo, ce qui est le moyen le plus pratique et le plus écologique en ville et dans les bourgs. Parfois les vélos sont laissés de côté au profit de voitures. Dans le bourg de Crac’h, près d’Auray, par exemple, les tournées se font en voiture depuis plusieurs années et l’on se demande bien pourquoi : plus de bruit, plus de pollution et plus de difficulté à se garer pour le facteur ou la factrice. Et le courrier n’est pas livré plus rapidement en voiture.

 Durable pour qui ?
Remplacer des vélos par des autos et des trains par des camions, cela ne ressemble pas trop à une politique de développement durable. Et puis la notion de “développement durable” pourrait être appliquée aux salariés eux-mêmes : leur faire signer des contrats durables plutôt que des contrats provisoires (la Poste a recours aux contrats non durables), leur aménager des conditions de travail durables qui ne les épuisent pas...

Peut-être vous souvenez-vous de ces cartes qui étaient affichées il n’y a pas si longtemps encore dans les Postes de France et de Navarre. On y voyait coloriés en différentes couleurs les départements français en fonction du délais de livraison du courrier : le lendemain, le surlendemain, ou encore 72h plus tard. Je ne vois plus ces cartes dans les Postes et quand je demande aux guichetières si ma lettre arrivera bien demain on me répond, “on espère”... Car aujourd’hui, si l’on veut être sûr plutôt qu’espérer il faut payer plus cher avec des services comme le courrier suivi ou le Chronopost. Avec ces tarifs là vous pouvez même suivre sur internet votre lettre durant son parcours! Il y a encore Colissimo, pour les colis. Ce dernier tarif est désormais obligatoire. Jusqu’en mai dernier, il y avait bien un tarif meilleur marché appelé Coliéco, mais il a été supprimé sans fanfare ni trompette.

 Deux sortes de clients...
Et aujourd’hui il y a deux sortes de clients à la Poste. Quand je vais à la Poste d’Hennebont, il y a deux files organisées. Celle des “entreprises”, et celles des anonymes. Les personnes qui apportent le courrier de leur entreprise, si elles sont munies d’une carte spéciale, peuvent passer devant tout le monde. Et nous, petits clients anonymes d’attendre notre tour. Il est vrai que la concurrence se développe dans le domaine de la livraison de colis et de courrier. La Poste doit chouchouter ses gros clients. Je me demande quand même si mes lettres de petit client sont acheminées aussi rapidement que celles des gros...

Les entreprises, comme nous tous d’ailleurs, aiment bien donner une image positive d’elle-même au public. Développement durable, commerce équitable, ça fait joli dans la publicité. Ces deux idées, tout à fait intéressantes, peuvent contribuer à faire évoluer notre monde dans le bon sens si elles signifient un vrai engagement global, si nous ne reprenons pas d’une main ce que nous avons donné de l’autre, et si nous ne nous contentons pas d’en faire des leïtmotiv pour nos bonnes consciences. Ce n’est pas gagné !

Christian Le Meut

28/06/2006

Konverzh reizh ha diorren padus, evel ma laront...

N’eus ket pell em boa en em gavet get ur faktourez en Hen Bont. Un eur ha kart d’enderv oa hag echu oa he devezh labour war he velo. Ha ni da gaozal un tammig. “Muioc’h mui a labour a vez lakaet warnomp”, a lâre ar faktourez. Hiroc’h eo an troiadeù rak muioc’h a dud a zo e chom en Hen Bont, ha nebeut a amzer zo evit reiñ al lizhiri d’an dud. Fallgountant oa anezhi ha neoazh, gwisket int, ar faktourezed, get dilhad ag ar c’honverzh reizh kempouezh, hiriv an deiz. Ar pezh a zo un dra vat : labourision douar ag ar Mali a ra koton d’un doare reizh (prenet get ur priz ingal), hag ar c’hotons a vez prenet get ar stal Armor Lux d’ober dilhadoù. 75.000 “débardeurs” savet evel se a vo roet d’ar faktourezed e 2006 e Frans a bezh... Ha gwiskamentoù evit ar faktourion a vo graet ivez... Ar c’honverzh reizh a ya araok a gres da stalioù evel La Poste...

An embregrezh se a ra bruderezh ivez evit an diorren padus...“Ya, a lâr ar faktourez, mat eo ober konverzh reizh met e pad an amzer se, muioc’h a c’hirri samm a vez lakaet war en hentoù evit kas al lizhiri, ha nebeutoc’h a dren”. Ouzhpenn se, araok e veze dibabet al lizhiri e meur a lec’h en un departamant. Bremañ kalz nebeutoc’h a lec’h zo, unan hebken er Morbihan : e Gwened. Ma kasit ul lizher e Pondi evit un den all a zo e chom e Pondi, kaset vo ho lizher da Wened evit donet en dro da Bondi ! Ha setu ur bochad kamionoù da vonet ha zonet war en hentoù ar pezh n’eo ket an doare ekologikan da labourat, na suran evit an hentoù ! Ha ne ya ket buanoc’h al lizhiri. Pennoù bras ar Post o doa sonjet serriñ ar “stal dibab” (centre de tri) e Gwened evit kas razh al lizhiri da Roazhon ! Met trouz zo bet get ar sindikadoù ha n’eo ket bet serret c’hoazh...

Marc'houarnoù pe otoioù ?
Troiadoù zo a vez graet c’hoazh get marc’houarnoù met alies e vezont lesket a goste evit monet get kirri evel e bourc’h Krac’h, e tal An Alre.  Muioc’h a drouz, muioc’h a saotradur a vez graet mod se ha n’eo ket aes berped parkañ an oto e kreiz ar vourc’h. Daoust da se, ar Post, hag a zo bremañ ar “bank Postale”, a labour evit an diorren padus.. Sanset... Met un difor bras a zo etre ar vruderezh hag ar wirionez... Mechal ivez petra a dalv “diorren padus” pa vez lakaet muioc’h mui a labour war gein al labourerion: skuizusoc’h eo o labour met padusoc’h ? Ha razh an dud a labour barzh ar Post n’int ket gobret da vat met get kontradoù berr ha... dibadus.

Marteze peus c’hwi sonj ag ar c’hartennoù a veze lakaet bleadoù zo en tier Post. Ar c’hartennoù se a ziskouezhe an departamantoù e lec’h ma veze resevet al lizhiri an deiz ar lerc’h, pe daou zevezh ar lerc’h. N’eus ket mui ag ar c’hartennoù-se, echu. Skarzhet. Ne vez mui lâret deoc’h pegoulz a erruay ho lizher... Nemet ma paeit un blank, ur gwenneg ouzhpenn evit kas ur c’hronopost pe ur c’holissimo. Met kalz keroc’h eo. Araok, ma faote deoc’h kas ur pakad ur priz marc’hadmat oa hag a veze graet  Colieco anezhan. Abaoe miz Mae n’eus ket mui a Golieco ebet, ret eo vo deoc’h paeiñ ur c’hKolissimo. Keroc’h, evel rezon...

Daou sort pratik zo 
Met, bremañ, daou sort pratikoù a zo er Post. Et ti post an Hen Bont, un dorikell zo evit an embreregezhioù, pratikoù bras ar Post... An dud a zeu get lizhiri o stalioù, o uzinioù, a c’hell paseiñ araok ar re all  get ur gartenn ispisial. Gwir eo lâret, muioc’h mui a gongurens zo ar an dachenn se hag ar Post a zle flourikaat e bratikoù bras... Met mechal mard a ya buanoc’h lizhiri ar bratikoù bras evit lizhiri ar bratikoù bihan, eveldin me...An diorren padus hag ar c’honverzh kempouez a zo daou sonj brav, hag a c’hell gwellaat hor bed un tammig memestra... Ma n’int ket un doare d’ober van, d’ober pub war gein ar re baour, ha da reiñ d’un dorn ar pezh a kemerer en dro d’un dorn all.

Christian Le Meut

26/06/2006

Revue de presse : le français, l'arabe, et le pays de Galles

"Il faut décoloniser les esprits" est le titre d'un article intéressant paru dans la page Rebonds de Libération d'aujourd'hui (26/06). Mohamed Benrabah, professeur de linguistique anglaise à l'université Grenoble III y analyse, d'une part, la position de Sarkozy sur la régularisation des enfants scolarisés sans papiers qui pourront rester en France s'ils ne parlents pas leurs langues d'origine (donc la langue de leurs parents !), et, d'autre part, la politique linguistique menée par Bouteflika. Sarkozy se faisant le chantre du monolinguisme va à l'encontre de la mondialisation car l'avenir est au multilinguisme. "Il est vrai qu'en France être loyal envers le français, c'est comme entrer en religion : les dieux de la langue française sont si jaloux qu'ils en peuvent tolérer d'autres divinités". L'auteur écrit également qu'"En matière de langues, les bienfaits de la colonisation semble bien peu évidents" : l'Algérie comptait plus de lettrés avant la colonisation (40 à 50 % en arabe), qu'après (90 % d'analphabètes en 1962).

Autre article intéressant dans la presse quotidienne aujourd'hui : un reportage d'une page entière dans Le Télégramme (toutes éditions), signé Ronan Larvor, sur le pays de Galles et son statut d'autonomie qui devrait être prochainement renforcé. La langue galloise (cousine de la langue bretonne) y connaît un regain de vitalité.

Dans les commentaires Dom indique un lien vers un reportage paru dans le Guardian sur le "revival" de la langue galloise (in english evel rezon).

Christian Le Meut 

 

 

Manifestiñ e Paris ?

Kuzul sevenadurel Breizh a zo e sonjal sevel ur vanifestadeg all, met e Paris ar wezh mañ; kit da lâret ho sonj war e lec'hienn internet

www.kuzul.info

Après la manifestation de Rennes du 3 juin, le Conseil culturel de Bretagne envisage une manifestation à Paris; vous pouvez dire votre avis sur son site internet.

 

Route : moins de morts mais plus de piétons écrasés

medium_av.liberation074.3.jpg4.975 personnes sont mortes sur les routes de France en 2005 d’après les chiffres du ministère des Transports publiés début juin. Le nombre de morts diminuent mais mieux vaut être dans sa voiture qu’à l’extérieur...

Jusque maintenant la manière de compter les morts de la route en France était un peu bizarre. On n’incluait en effet que les blessés morts six jours après leur accident !  Cette règle a été désormais changée à la demande de l’Europe car la plupart des pays européens comptent les personnes décédées jusqu’à cent jours après leur accident et des suites de celui-ci. Ce qui est bien plus logique. Alors si on prend cette nouvelle façon de compter, ce n’est plus 4.975 tués qu’il y a eu sur le routes de France en 2005 mais 5.318. Près de 350 de plus quand même, mais ce chiffre reste le meilleur depuis bien longtemps. Les routes de France sont plus sûres et c’est tant mieux.

Plus sûres, encore faut-il y regarder de plus près. Ce sont surtout les gens à l’intérieur de voitures, les chauffeurs, les passagers, qui meurent moins. Moins 10% l’années dernière. Mais, quand on n’est pas dans une voiture là, mieux vaut faire gaffe à ses os. Les piétons trinquent particulièrement avec une hausse de 8 % de morts en 2005 ! Les deux roues trinquent également, mais dans une moindre mesure. La sécurité augmente donc, mais pas en agglomération, pas pour les piétons ni pour les deux roues.

50 km/h
Je n’en suis pas très surpris quand je vois à quelle allure passent certains automobilistes devant chez moi, alors même que j’habite en ville et que c’est limité à 50 km/h. Comme si, une fois doté d’un moteur, il fallait aller le plus vite possible d’un point à un autre sans se soucier d’autrui, de la sécurité, du bruit, ni de l’impact sur l’environnement, car quand on roule tranquillement, on pollue moins. Et aller vite pourquoi faire ? Pour aller regarder la télé à la maison ?

A Vannes (Morbihan) des radars mobiles ont été installés en ville depuis la fin du mois de mai. Ils changent de rue chaque jour mais leur emplacement est indiqué dans la presse régionale. Et, d’après la police, la vitesse moyenne a baissé. Quand il y a une risque d’être puni, nous allons moins vite, c’est ainsi. Le civisme routier ne nous vient pas toujours naturellement.

Vitesse danger
Mais il y a d’autres façons de ralentir la circulation, moins punitives, notamment en rétablissant les priorités à droite, en installant des rond-points, des chicanes, des places de parkings, en réduisant la rue, en élargissant les trottoirs, en aménageant des pistes cyclables isolées des voitures, en plantant des arbres au milieu de la chaussée. Le but : contraindre l’automobiliste à ralentir par l’aménagement même de la rue. Car la vitesse est un danger public, en agglomération comme en campagne mais, en ville, elle est aussi une atteinte à la libre circulation des personnes et à la convivialité urbaine.

J’ai été supris en lisant les chiffres du Ministère des Transports : les routes nationales bretonnes sont parmi les plus sûres de France, mais c’est moins le cas des départementales bretonnes. Et s’il y a plus d’accidents liés à l’alcool en Bretagne que dans la moyenne des autres régions françaises, il y a moins de tués par défaut de port de la ceinture. Les chiffres indiquent que les départements les pires en matière de tués sur la route sont la Haute-Corse, la Corse du Sud, le Gers et le Tarn et Garonne. Quant aux plus sûr, ce sont les Hauts-de-Seine, le Val d’Oise, le Rhône et l’Essonne.

Chacun son tank ?
Il y a donc des progrès à faire, vis-à-vis des piétons comme des deux roues. Or l’on construit de plus en plus des voitures qui, si elles sont plus sûres pour leurs occupants, sont plus dangereuses pour les personnes extérieures. Garez vos abattis, piétons, certains pare-chocs peuvent vous fracasser, non plus la rotule, mais le bassin, car ils sont situés plus haut et sont plus durs qu’auparavant. C’est vrai pour les 4x4 mais aussi pour certains véhicules normaux... Chacun dans son tank donc, et tant pis pour les piétons, ces êtres bizarres qui ont la drôle d’idée de marcher, de ne pas polluer, de ne pas faire de bruit (ou si peu); qui peuvent faire quelques centaines de mètres pour aller acheter leur pain et tout ça, sans même une carapace protectrice autour d’eux. Bizarres vraiment, ces  piétons, qui prennent le risque de finir écrasés comme des hérissons. Piétons, une espèce en voie de disparition ?
Christian Le Meut

Légende : Encore trop souvent l'on voit des trottoirs trops étroits, comme ici dans le centre ville d'Hennebont, sur lesquels deux piétons ne peuvent passer de front. Les personnes en fauteuil roulant ou avec poussettes y rencontrent souvent des difficultés alors même que la rue est très large de trois voies.Les jours de grandes fréquentations piétonnes (le jeudi matin), beaucoup de piétons marchent sur la rue.