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10/05/2010

Okitaneg/occitan : ur c'hlas divyezhek el lise/une classe bilingue au lycée de Carcassonne

Un hentenn divyezhek a vo digoret barzh ul lise e Bro Okitania, e Carcassonne ar pezh a zo nevez flamm du-hont. Muioc'h mui a skolioù "Calandreta", skolioù mamm ha kentañ derez, a vez digoret e lec'h ma vez desket okitaneg get ar vugale dre soubidigezh evel Diwan e Breizh. D'ober 'zo, neuze, a zigoriñ klasoù e okitaneg barzh skolajoù pe liseoù 'zo, evel ma z'eus e Breizh, met re nebeut. N'eus ket trawalc'h a skolajoù nag a liseoù get un hentenn divyezhek, hag ur bochad bugale a zilesk ar brezhoneg ar pezh a zo domaj bras.

Un filière bilingue va être ouverte à la rentrée prochaine dans un lycée de Carcassonne, ce qui est une nouveauté là-bas. De plus en plus d'écoles maternelles et primaines Calandreta sont ouvertes en Occitanie, où l'on apprend l'occitan par immersion, comme cela se fait à Diwan en Bretagne. Il est donc logique d'ouvrir des filières bilingues dans des collèges et lycées, sauf que cela se fait trop peu. Beaucoup d'enfants ayant appris le breton en primaire ne poursuivent pas au collège ni au lycée, faute de suivi au niveau de l'Education nationale, ou privée. La déperdition de connaissance et de compétence linguistique est importante.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/09/831725-Inedit-...

02/05/2010

Diversité linguistique : un tour d'Europe à vélo

"18.000km à vélo et 24 pays traversés... Emmanuel Le Merlus va s'engager pour un tour d'Europe à vélo afin d'aller à la rencontre des minorités linguistiques"... Da lenn war/A lire sur :

http://www.letelegramme.com/local/morbihan/pontivy/ville/...

26/04/2010

Tintin troet e yezh Bro vMonako... Tintin traduit en monégasque

Ne ouien ket penaos ez eus ur yezh e Bro vMonako; ur yezh tost ag an italianeg (evel ma z'eus an "nissart" kiste Nice), hag a vez desket dre ret er skol, ag ar skol kentañ derez betek ar skolaj ! Souezhet on bet souezhet ivez e lennet war internet e vo embannet a-benn nebeut un albom Tintin troet er yezh-se (ar "munegascu" a vez graet anezhan).

On apprend des choses en surfant sur le net, notamment qu'il existe une langue spécifique à Monaco, le monégasque, de la même famille que l'italien (lien-dessous avec Wikipédia), et même que son apprentissage est obligatoire à l'école, du CP au collège ! Autre surprise, un album de Tintin va être édité dans cette langue bientôt en monégasque, "munegascu".

" C’est au troisième étage du lycée technique que Dominique Salvo-Cellario, qui enseigne le monégasque en Principauté et Eliane Mollo, professeur à l'université de Nice - Sophia Antipolis, planchent sur le lexique d'un ouvrage un peu particulier : /I Ori d'A Castafiore/.
Avec Richard Projetti, responsable du projet, elles ont traduit, de novembre à février, /Les Bijoux de la Castafiore/, album du héros de bande dessinée Tintin crée par Hergé, en monégasque".


Le tapuscrit a déjà été livré aux éditions Casterman, qui produisent le livre. /« Tout est codé dans ce Tintin. Nous faisons un lexique car il y a beaucoup de jeux de mots et d'expressions que seuls ceux qui parlent la langue peuvent comprendre »/, explique Eliane Mollo. /« Nous avons traduit ce Tintin dans l'esprit du pays, pour rendre compte de la langue telle qu'elle est parlée »/, ajoute Dominique Salvo-Cellario. Le livre est ainsi truffé de références à l'Histoire de Monaco et à la vie quotidienne sur le Rocher.(...).

Le journaliste à la houpette blonde devient /« Tintín » /(prononcer Tinetine, ce qui signifie le petit coloré). Le capitaine Haddock se fait appeler /« le capitaine Stocafí »/, de la dénomination du plat typique monégasque à base de morue. Quid des fameux Dupont-Dupond ? Leurs doubles du Rocher se prénomment Duponte-Davuta./ « Là encore, c'est un jeu de mots. Dans la vieille ville, il y a des voûtes dans les ruelles. Nous avons donc le Duponte qui vient du pont et le Davuta qui vient de la voûte »,/ indique Eliane Mollo. La traduction se poursuit jusque dans les onomatopées. /« Milu »/, le Milou de la Principauté, aboie en monégasque : /« Bau ! Bau ! »/.

La suite sur un site officiel de Monaco, qui existe en neuf langues, mais pas en monégasque !

Site : http://www.visitmonaco.com/fr/L%27actu/News/Tintin-%C3%A0...

Concernant le monégasque : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mon%C3%A9gasque

 

21/04/2010

France culture : Freddy Raphaël et le judéo alsacien

Hiriv m'eus klevet un abadenn skingomz talvoudus a ziar benn ur yezh n'anavezen ket araok : ar "judéo-alsacien", un doare yiddish ha veze komzet (hag a vez c'hoazh ?) get yuzevien an Elzas araok ar brezel bed diwezhañ. Ur sokiologour, Freddy Rafaël a zispleg penaos en deus klevet ar yezh-se, ha penaos e veze komzet tri yezh tro dro dezhan just ar lerc'h ar brezel : galleg, elzasianeg ha "judéo-alsacien".
Emission intéressante ce soir sur France culture avec le sociologue Freddy Raphaël qui parle d'une langue dont j'ignorais l'existence, le judéo-alsacien, proche du yiddish, parlée par les Juifs d'Alsace avant la guerre. Il explique comment il a entendu parler cette langue et comment trois langues étaient pratiquées dans sa vie quotidienne, juste après la guerre, en Alsace : le français, l'alsacien et le judéo-alsacien.

http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emiss...

01/04/2010

Menaces sur les langues et schizophrénie française

Ur pennad skrid talvoudus a zo bet embannet war ar blog "Mescladis e cops de gula", a ziar Le Monde, ar yezhoù en arvar er bed, hag ar yezhoù "rannvroel" e Bro C'Hall hag e Europa... Da vout lennet.
Un article très intéressant est à lire sur le site "Mescladis e cops de gula", à propos du Monde (le journal), des langues en danger sur notre planète et nos langues "régionales" en France et en Europe... A lire.

"(...) sur le plan de la théorie générale, la diversité linguistique est un trésor inestimable de l’humanité, sur le plan de la perception concrète des langues historiques de France et d’Europe, loin de l’exotisme des peuples premiers, c’est encore et toujours l’image du « patois » qui s’impose et fait irrémédiablement obstacle à l’application des principes universels aux réalités locales. " (Mescladis, Jean-Pierre Cavaillé).

http://taban.canalblog.com/

31/03/2010

Syndicat national des journalistes : le JT en langue basque ne doit pas s'éteindre


Kemenadenn a-berzh Sindikad Broadel ar Gazetennerien/Communiqué du Syndicat national des journalistes (SNJ, syndicat majoritaire chez les journalistes) :

"Après 12 années d'existence, le journal télévisé en langue basque, diffusé depuis les studios d'EiTB à Bayonne va s'interrompre ce 
mercredi soir, 31 mars. Les cinq journalistes qui réalisaient ce journal, en même temps qu'ils assuraient la correspondance pour l'ensemble des chaînes de télévision et de radio du groupe espagnol EiTB, font l'objet d'une procédure de licenciement pour raison économique.

EiTB, groupe audiovisuel public dépendant de la Communauté autonome basque, est pourtant prospère et possède des bureaux à Shanghai, New York, Bruxelles ou Mexico, qui ne sont aucunement menacés.
 Les collectivités territoriales françaises, communes et département, 
se sont pourtant engagées depuis des années, y compris 
financièrement, pour que l'unique chaîne qui diffuse en langue basque 
soit reçue dans de bonnes conditions par les locuteurs bascophones du 
côté français de la frontière.


La véritable raison de cette fermeture tient donc plus d'affrontements politiques qui n'ont que peu de rapports avec le journalisme et sa mission d'informer honnêtement les citoyens des deux côtés de la frontière.Le Syndicat National des Journalistes, première organisation de la profession, déplore l'arrêt de ce journal et la fermeture injustifiée du bureau de Bayonne d'EiTB.

Il dénonce l'absence de réponse crédible apportée aux salariés privés de leur emploi, aux collectivités et aux téléspectateurs basques, quant à une éventuelle date de reprise de cette émission.

Cette reprise doit se faire dans les meilleurs délais, en employant 
prioritairement les journalistes qui ont assuré jusqu'ici le renom de 
la chaîne et le service auprès des auditeurs et des téléspectateurs.


Le SNJ assure ses confrères d'EiTB de sa plus entière solidarité".

19/03/2010

Foot : Strasbourg/Brest displeget e elzasianeg/brezhoneg

Ur match melldroad, footbal etre skipailhoù Strasbourg ha Brest (eil rummad) a vo c'hoariet henoazh (fenoz). Un atersadenn skrivet e elzasianeg hag brezhoneg, a ziar klub Brest a zo bet embannet war ul lec'hienn internet a vro Elzas. N'eo ket aes da gompren, ar goulennoù a zo en elzasianeg, har ar reskontoù e galleg... Ret eo tremen dre ar galleg evit kompren, dreist holl evit ar re, eveldon-me, ha ne ouiont ket kalz a dra war an dachenn-se. Met ur sonj vat eo memestra.
Match de foot ce soir entre Strasbourg et Brest (Ligue 2). Un entretien écrit en alsacien et en breton à propos du club de Brest est paru sur un site internet alsacien, mais c'est un peu compliqué car les questions sont en alsacien et les réponses en breton. Il faut donc passer par la version française pour tout comprendre, surtout quand on n'est pas très compétent. Bonne idée quand même.

http://www.racingstub.com/page.php?page=news&id=4050

17/03/2010

Kelaouenn Trema : un niverenn a ziar-benn ar yezhoù rannvroel

Yezhoù rannvroel, ar c'helenn, a zo tem niverenn diwezhañ ar gelaouenn Trema, "Revue de recherche de l'IUFM de l’académie de Montpellier depuis 1992 ; son objectif : servir de lien entre réflexions scientifiques, recherches sur l'enseignement et formation des enseignants".
Le dernier numéro de la revue Trema, "revue de recherche de l'IUFM de l’académie de Montpellier depuis 1992 ; son objectif : servir de lien entre réflexions scientifiques, recherches sur l'enseignement et formation des enseignants", est consacré à l'enseignement des langues régionales.

http://trema.revues.org/898

 

07/03/2010

"Le parlement européen au secours des langues minoritaires"

Ul liamm get ur pennad interesus embannet hiriv ba' Corse matin (trugarez da Rémi Beauto).
Un lien vers un article intéressant paru aujourd'hui dans Corse matin (merci à Rémi Beauto) :

http://www.corsematin.com/ra/corse/244006/bastia-le-parle...

09/02/2010

Inde : la dernière locutrice de la langue Bo est décédée

Ar yezh Bo, a veze komzet e inizi Andaman (India) a zo aet da goll; ar vaouez nemeti a gomze c'hoazh ar yezh-se, Boa Sr, 85 vloaz, a zo marv n'eus ket pell zo, hervez ur gelennerez a Vro India a studi ar yezhoù komzet war an inizi Andaman, Anvita Abbi. Ur pennad e saozneg a zo da lenn war lec'hienn ar BBC. Yezhoù all a zo en arvar er inizi-se. Mammenn : Diwan Breizh.

La langue Bo, qui était parlée sur l'archipel des Andaman, en Inde, vient de s'éteindre définitivement. La dernière locutrice de cette langue, Boa Sr, 85 ans, est décédée récemment d'après une chercheuse indienne, Anvita Abbi. D'autres langues sont menacées dans cet archipel. Lire l'article suivant, en anglais, paru sur le site de la BBC (source : Diwan Breizh).

http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8498534.stm

01/02/2010

L'identité française : une devise, "liberté, égalité, fraternité" à mettre en pratique

Selon un sondage CSA-Le Parisien publié fin 2009, la langue française est plébiscitée comme “élément constitutif” de "l'identité de la France" par (80%) des sondés devant la République (64%), le drapeau tricolore (63%), la laïcité (61%) les services publics (60%).  80 % ! La croyance selon laquelle parler une langue unique (ou commune), est indispensable pour créer une “identité”, une “nation”, est largement répandue en France, malgré quelques faits qui contredisent cette croyance.

Premier fait : la France est multilingue, entre les langues parlées dans certaines régions depuis des siècles, voire avant l’apparition du français (Pays Basque, Bretagne, Alsace, Occitanie, Flandres, Corse...), et les langues des populations immigrées.

Deuxième fait : les frontières linguistiques ne recoupent pas les frontières nationales puisque la Suisse romande et la Wallonie belge ne sont pas en France. Suisse, Belgique, tiens donc, deux pays multilingues. Le premier n’a pas l’air d’en souffrir. On annonce depuis longtemps l’éclatement du second, mais il tient.

Troisième fait : pendant des siècles, et aujourd’hui encore, des millions de citoyennes et de citoyens français n’ont pas parlé le français. Les Bretons le savent bien. J’ai moi-même, qui suis né en 1964, connu quelques personnes âgées qui parlaient très bien leur langue maternelle, la langue bretonne, mais maîtrisaient très mal, voire pas du tout, le français. Des générations de Bretons, d’ailleurs, ont pris le français à l’école et n’ont pas pu jouir d’un droit que la convention des droits de l’enfant reconnaît désormais : celui d’être alphabétisé dans sa langue maternelle, ce qui n’empêche pas l’apprentissage précoce d’une seconde langue. Aujourd’hui, certaines personnes âgées d’une soixantaine d’années se souviennent qu’elles ne parlaient pas un mot de français en arrivant à l’école. Elles y ont appris la langue française, souvent punies quand elles parlaient breton. Il doit encore y avoir aujourd’hui, probablement, des milliers de Français qui ne parlent pas, ou très mal, le français, parce que leur langue maternelle et quotidienne est le créole, ou une langue amérindienne, ou une langue kanak...

Quatrième fait : une langue commune (souhaitable évidemment, si elle n’entraîne pas la mort des autres langues du territoire), n’est en rien suffisante pour créer une unité nationale. Les élites étasuniennes parlaient anglais et ça n’a pas empêché la guerre de Sécession au XIXe siècle. Les guerres civiles d’Espagne, d’Irlande, montrent bien qu’une langue commune n’est pas suffisante, et en France non plus : la guerre d’Algérie, la guerre entre résistants et collaborateurs entre 1940 et 1945, le montrent. En Yougoslavie, toutes les élites intellectuelles parlaient le “serbo-croate”, langue commune aujourd’hui éclatée en plusieurs langues officielles soi-disant différentes (croate, serbe...). Mais le pays a éclaté quand même,  à partir du conflit au Kosovo (1988-89), parce que Milosevic, adoptant un discours nationaliste, a supprimé les libertés des albanophones de cette région, notamment la liberté d’être scolarisés dans leur langue.

Contrat social
La langue commune est donc loin d’être suffisante pour créer une nation, ni même un contrat social dans lequel se retrouverait une population. Alors quoi donc ? La prospérité économique est un facteur essentiel, à condition que les richesses soient équitablement partagées. Or, aujourd’hui, l’Etat redistribue des impôts aux très riches. Est-ce cela, la République ? Il y a donc un modèle social à construire, qui garantisse l’accès à la santé, au logement, au travail, à un environnement sain, à l’éducation. Mais une éducation citoyenne, qui cherche à former des êtres humains épanouis, pas des futurs travailleurs à la chaîne. Un modèle politique qui agisse concrètement contre la discrimination. Un modèle politique, enfin, qui garantisse les droits des citoyens, et des minorités. L’Etat français continue d’être hyper centralisé et normatif. Les habitants des régions existent-ils ? Quand  20.000 personnes manifestent dans les rues de Carcassonne, en octobre 2009, ou dans celles de Rennes, en mars 2003, pour demander un vrai statut des langues régionales, pourquoi les médias dits “nationaux” en parlent-ils si peu ? pourquoi cela suscite-t-il si peu d'intérêt à Paris ?

Alors, la langue française, “élément constitutif” de de la France, de l’identité nationale ? Beaucoup de Français le croient, manifestement. Mais on peut être Français et ne pas parler le français. Et le fait de parler une langue commune ne garantit contre rien. Contre aucune injustice, contre aucune régression sociale, contre aucune avancée du libéralisme sauvage, contre aucune atteinte à la nature. Les pires pratiques sociales, les pires discours racistes, violents, diviseurs, peuvent se tenir en français, comme dans n'importe quelle autre langue.

Droit à la différence
Et chercher à imposer le français comme langue unique, en niant l’existence ou la valeur des autres langues de France, constituerait une injustice et une violation des droits de l’Homme. Alors il faut chercher plus loin, plus profond, autre chose. Dans un nouveau contrat social qui peut continuer à s’articuler autour des idées de démocratie et de république, de liberté, d’égalité, et de fraternité. Du droit à la différence. Idées qu’il faut mettre en pratique bien plus profondément qu’elles ne le sont aujourd’hui.

Christian Le Meut

* Sondage effectué par téléphone les 28 et 29 octobre 2009 auprès d'un échantillon  représentatif de 1.006 personnes majeures, selon la méthode des quotas.

11/01/2010

Yezhoù "rannvroel" : un abadenn da selaoù/Langues régionales : une émission à écouter

Embann a ran doereieù kaset da Rezore get Alwenn a ziar un abadenn radio bet skignet... dec'h (!), war France culture, hag a c'hell bout selaouet war internet./J'édite des infos envoyées par Alwenn à propos d'une émission de radio diffusée... hier sur France culture, mais qui peut être écoutée sur internet :

" Une émission à écouter : dimanche 10 janvier 2010, "Langues régionales : quels medias ?". Un exemple, parmi d’autres : la langue Basque ne représente encore que deux heures de programme par an sur la chaîne de télévision Fance 3 Pays Basque!

A l’heure où l’on met en avant la diversité culturelle dans de grandes organisations internationales comme l’UNESCO. Les langues de France ne font que survivre, la presse et les medias en Basque, Breton, Occitan, sont inaudibles et introuvables…Où en est la législation ? Quelle audience, quel lectorat ? Quels moyens ? Quelle place dans les politiques linguistiques mises en œuvre ?

Témoignages enregistrés :
- Fanch Broudic responsable d'édition en Breton et ancien journaliste de France 3 Bretagne
- David Grosclaude directeur de publication en Occitan
- Matao Rollo, animateur sur Plum'FM, la radio gallisante
- Pere Manzanares président de Radio Arrels ( en Catalan)

http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emiss...
par Marie-Hélène Fraïssé le dimanche de 15h à 16h.

A noter que l'émission s'interesse aux cultures du monde, de fait aux cultures "étrangères"
Il y a des émissions de débats sur france-culture, mais elles laissent le débat sur les langues minoritaires à l'émission  sur les cultures "étrangères"."